Hypnose médicale et suggestion

l'aspect cognitif abordé

Oui cela rentre dans pratiquement tout les domaines , certaines branches du soufisme ont une très grandes longueurs d'avance dans cette lecture , car elle est introspective et comme autre image ce qui se passe avec l'Islam en façade , ou d'autres manips n'en sont pas dénués de sens
Aussi ton protocole est ta sharia , en tant que croyant

Je vais te donner mon point de vue et tes synchronicités feront le reste pour valider ou invalider

R R est ton hérésie (mystique) , donc tu ne peut pas comprendre et je comprend ton rejet , ce qui vous sépare sont les folklores qui vous encadrent

zak, faut arrêter de boire....

zakari a écrit:
Je vais te donner mon point de vue et tes synchronicités feront le reste pour valider ou invalider

R R est ton hérésie , donc tu ne peut pas comprendre et je comprend ton rejet , ce qui vous sépare sont les folklores qui vous encadrent

Sur ce sujet on parle très exactement d'hypnose médicale.
On parle donc pour être clair de personnes ayant une solide formation de psychologue auquel s'ajoute ce que l'on appelle une "spécialité" et qui néanmoins, n'étant pas médecin pratiquent en cabinet médical ou en clinique.
Rien à voir donc, mais alors strictement rien, avec ce dont tu parles.
Merci de revenir au sujet.

Merci de revenir au sujet.

voilà une suggestion

et le patient est bulle
l'auto hypnose suit sont long fleuve tranquille dans sa médication
Ne suis je pas dans le sujet , ou alors il n'est pas assez ou trop pointu sur ce fil

Oui oki avec toi : je trouve que j'ai beaucoup de patience

Disons que je suis dans les limites de notre supportable , ce que la médecine appel souffrances et moi je l'appel notre hérésie , ou ce que nous refusons de nous même
Jipé travaille dessus

Cela rentre bien dans le cadre du sujet , que je pourrais développer , dans une relation vivante au travers de texte , il y a beaucoup a apprendre sur l'auto hypnose et sans toi je ne peut pas me lire
Tout reste a voir ou sont les véritables limites de ce forum d'échanges sur la métaphysique
Ce qui n'invalide pas le respect que je porte pour le travail de la modération qui nous poussent a aller au delà de soi

[quote="LilaCertains en disent autant pour d'autres "médecines douces". Je n'en suis pas persuadée, mais supposons qu'elles n'agissent pas autrement.
Pourquoi alors considérer l'une comme sérieuse, et les autres comme du pipeau, ou du charlatanisme ? L'homéopathe qui passe une heure trent pour une consultation, le géobiologue qui passe une après midi dans une maison à écouter ses habitants, observer les nuisances possibles de la maison (produits chimiques et pollution EM, qui fait partie de leur "boulot"), pourquoi ne pas aussi reconnaître leur efficacité possible ?

Pour moi toutes ces méthodes agissent au moins par le facteur psy, qui a un effet réel sur le métabolisme.

Je plaide pour leur intégration dans le cadre médical, donc en association avec des médecins, en complément d'un traitement classique", avec surveillance compétente et contrôle de la rémunération, au même titre que l'hypnose, et aussi l'acupuncture, l'homéopathie... et pourquoi pas les "coupeurs de feu", les radiesthésistes et Cie.[/quote]




LilaPour moi c'est sûr la différence entre l'allopathie et les médecines douces n'existe pas. Les medecines douces seront reconnues quand on aura plus de sécu sans doute.

merci jipé, pour les explications ........!

je souffre d'acouphènes, et j'essai de me soigner
par tous les moyens , et rien n'es évident.
ils sont toujours là, à me pourrir la vie .

Pourtant j'ai bien compris le fonctionnement
que tu explique au début du sujet
mais la mise en pratique est loin d'être évidente.

ammicalement

orthon7 a écrit:merci jipé, pour les explications ........!

je souffre d'acouphènes, et j'essai de me soigner
par tous les moyens , et rien n'es évident.
ils sont toujours là, à me pourrir la vie .

Pourtant j'ai bien compris le fonctionnement
que tu explique au début du sujet
mais la mise en pratique est loin d'être évidente.
ammicalement

L'hypnose ne guérit pas les acouphènes, mais donne une possibilité de les gérer.
Il faut aussi savoir s'il s'agit d'acouphènes objectifs ou subjectifs...
Les acouphènes objectifs sont d'originaire vasculaire, c'est le flot sanguin qui a une répercussion sonore sur les muscles autour de l'oreille.
Les acouphènes subjectifs, qui sont en très grande majorité, sont d'origines diverses et variées. Cela peut provenir d'un problème physiologique comme psychique. La personne peut avoir en fonction de la destruction des cils de l'oreille interne, ou des cellules, une forme de signal que l'on appelle "fantôme", signal envoyé par le cerveau pour essayer de corriger le problème.

Ces bruits, cliquetis, voire même "musique ou paroles incompréhensibles" peuvent être gérés pour les relativiser et les intégrer aux bruits environnementaux par hypnose et/ou auto-hypnose, c'est à dire, baisser la gêne autant que possible. 60 à 70 % des patients ont une amélioration...

Les acouphènes subjectifs, qui sont en très grande majorité, sont d'origines diverses et variées. Cela peut provenir d'un problème physiologique comme psychique. La personne peut avoir en fonction de la destruction des cils de l'oreille interne, ou des cellules, une forme de signal que l'on appelle "fantôme", signal envoyé par le cerveau pour essayer de corriger le problème.

effectivement j'ai un acouphène subjectif depuis l'age de 10ans
sifflement aigu
et c'est dur à vivre quand on a perdu le silence.
surtout la nuit, j'essai de couvrir le sifflement avec
de la musique ou autre ,les méthodes d"auto hypnose
mais nuit après nuit, jour après jour je m'épuise.

"j'ai 50 ans mais je pense que mon cerveau
à force de luter contre ce fantôme en à au moins 100 "

merci pour ta compréhension jipé.

Si je ne suis pas indiscret Orthon, tes acouphènes à l'âge de 10 ans (c'est très jeune!) ont une cause connue et particulière ? Je parle de cause plutôt physique ou psychique.
Tu n'es pas obligé de me répondre...

oui 10 ans c'est jeune
et surtout que ce sifflement je n'en est parlé
à personne avant l'age de 20 ans
donc j'ai du faire des recherches dans
mon passé pour en trouver la cause
le docteur de l'époque ma naturellement
envoyé chez un orl, rien d'anormale
10 sur 10 au niveau de l'audition.
puis le psychologue, j'ai aussi fait une psychothérapie...ect ..!
et rien n'en est ressortie.
Puis en réfléchissent je me suis souvenu avoir
eu une grosse "otite, oreillon interne "
avec de grosses piqûres qui font très mal .
donc j'en ai déduis qu'une partie de mes cellules ciliées
devaient être endommagé ........?

mais bon même si c'est l'origine
le plus dur reste à géré cette état
de non silence, mon cerveau se fatigue
et moi aussi à mettre en veilleuse
se vilain fantôme auditif.

merci à toi

Tu as eu à quel âge l'audiogramme ? 10 ans ? après ton otite ?
Parce que si tu avais eu des cellules ciliées détruites, je pense que l'audiogramme n'aurait pas été de 10/10.
Les piqûres devaient être à base d'antibiotique/corticoïde, je pense...
As-tu repassé un audiogramme depuis ? Ceci te permettrait de savoir si tu as perdu de l'audition de cette oreille et si c'est le cas, les acouphènes peuvent venir de là.

Lorsque le soir en te couchant, tu entends le sifflement plus intense, parce qu'il n'y a pas de bruit ambiant, essaye, si tu ne l'as déjà fait, de te mettre en auto-hypnose en focalisant ton attention sur ton rythme cardiaque, tu prêtes toute ton attention sur les battements du coeur, d'essayer, par exemple, de les ralentir un peu...de les imaginer mentalement et peut-être que ton attention se déplacera sur autre chose que les acouphènes.
En même temps, de relâcher la tension, la pression intra-auriculaire diminuera par la même occasion.
Tout ce qui détournera la focalisation sur le sifflement, pourra peut-être en diminuer l'intensité.
J'espère que cela pourra t'aider...

Tu as eu à quel âge l'audiogramme ? 10 ans ? après ton otite ?

non mon premier audiogramme, je l'ai fait à 20 ans.
et j'en ai fait d'autre depuis, et il y a une fréquence
qui correspond à mon sifflement.Mais si non mon audition et bonne.

Lorsque le soir en te couchant, tu entends le sifflement plus intense, parce qu'il n'y a pas de bruit ambiant, essaye, si tu ne l'as déjà fait, de te mettre en auto-hypnose en focalisant ton attention sur ton rythme cardiaque, tu prêtes toute ton attention sur les battements du coeur, d'essayer, par exemple, de les ralentir un peu...de les imaginer mentalement et peut-être que ton attention se déplacera sur autre chose que les acouphènes.
En même temps, de relâcher la tension, la pression intra-auriculaire diminuera par la même occasion.
Tout ce qui détournera la focalisation sur le sifflement, pourra peut-être en diminuer l'intensité.

Oui bien sur, je pratique. Mais quand souvent la lute et inégale
je pense que le cerveau et encore bien compliqué pour l'homme.

merci pour ton aide.

amicalement

Je fais remonter ce vieux sujet sur l'hypnothérapie...

L'hypnose médicale endort la douleur

"SANTÉ - L'hôpital d'Aix-en-Provence forme actuellement une partie de son personnel à cette pratique...
Grâce à l'hypnose médicale, Philippe, atteint d'une sclérose en plaques, a réduit sa consommation de neuroleptiques. Pour se dégager de la douleur, il a appris à entrer dans un état modifié de conscience. «Je me relaxe, je pars dans mon imaginaire pour oublier mon corps», raconte-t-il. Au centre hospitalier (CH) d'Aix-en-Provence, 60 agents hospitaliers, infirmiers et médecins, sur 2.700, seront initiées d'ici à la fin de l'année par l'Institut français d'hypnose à cette méthode.

Hyperconcentration

«L'hypnose est un état d'hyperconcentration, comme quand une personne joue à un jeu vidéo par exemple. Son lien avec le temps n'est plus le même et les stimuli extérieurs ne sont plus ressentis», explique Delphine Baudoin, docteur responsable de l'unité de traitement de la douleur au CHU d'Aix. L'hypnose médicale est ainsi utilisée pour les soins douloureux ou stressants et avant certaines interventions chirurgicales. «Cela permet d'injecter moins de produit anesthésiant dans le corps du patient. Il récupère donc plus vite», indique Delphine Baudoin.

Selon une étude de l'université de Stanford, seuls 5% des gens sont réfractaires à la méthode. «Par déontologie, on demande toujours au patient s'il veut être médicalement hypnotisé ou pas, précise Christine Contin-Zolin, une psychologue déjà formée à la technique. Il y a d'abord une phase d'induction où on parle d'une voix monocorde pour que le patient entre dans un état, détaille-t-elle. L'imaginaire du patient va l'amener là où il veut pour voir des paysages ou ressentir des choses». Pour le faire sortir de cet état, le personnel médical «reconnecte» le patient en lui faisant prendre conscience des bruits qui l'entourent, etc. «L'objectif est de former l'ensemble du personnel, assure le directeur du CHU, Joël Bouffiès. Je veux ouvrir l'hôpital vers les techniques du "mieux-être". La douleur a longtemps été rejetée, aujourd'hui nous la traitons.»

A ce jour, très peu d'hôpitaux en France pratiquent l'hypnose, selon la fondation APICIL qui aide l'hôpital d'Aix à financer les formations d'un coût de 1.000 euros par personne."

Lien

salut jipé

quand on dis " L'hypnose médicale endort la douleur"

je ne pense pas que se soit vraie
la personne détourne l'attention du sujet
et par ce fait le cerveau prend Moins en compte
l'intervention.

j'ai déjà fait pas mal de relaxation
et pour pendant la séance parfois cela fonctionné
et d'autre fois je n'arrivait pas à me relâché suffisamment.
Par contre il m'es déjà arrivé de m'endormir pendant
la séance tellement mon état de fatigue été avancé.
pour moi les séances vu mon acouphène
se fessais toujours avec un fond Musical choisi.

j'ai regardé la vidéo de ton lien
en j'entend justement en bruit de fond
qui ressemble à un acouphène.
du genre huuuuuuuuuuuuuuuu
l'entend tu ?

Merci orthon

Salut Orthon,

le terme "endormir la douleur" veut dire que la douleur n'a pas la même intensité, elle diminue réellement par détournement, comme tu le dis, mais aussi par processus physiologique.

Ps: Oui, dans la vidéo pendant que la médecin perle, il y a un bruit de fond comme tu le décris.

Jipé a écrit:Salut Orthon,

le terme "endormir la douleur" veut dire que la douleur n'a pas la même intensité, elle diminue réellement par détournement, comme tu le dis, mais aussi par processus physiologique.

Ps: Oui, dans la vidéo pendant que la médecin perle, il y a un bruit de fond comme tu le décris.

merci jipé

pour moi l'intensité douleur et je pense toujours là même,
mais justement par le détournement "processus physiologique"
elle ressenti différemment.

exemple: une fois je fendais du bois et par accident
la masse que j'utilisais après avoir heurté le coin
est parti en direction de mon pied, cela ma vraiment
fait très mal sur le coup, mais comme je voulais finir
de fendre les bûches j'ai continué mon travail.
et quel par j'ai mis inconsciemment la douleur en arrière plan
par contre après avoir terminer de fendre mes bûches,
je me suis occupé de mon pied, et la en retirent ma chaussure
surprise elle été pleine de sang, et j'ai vue que mon orteil était éclaté.

donc quelque part j'ai endormi ma douleur pour finir mon travail.
peut on dire pour autant quel n'avais plus la même intensité ?

et donc direction l’hôpital et crois moi, j'avais de nouveau très mal,
effectivement l'ongle en plusieurs morceau et l'os cassé.

Si on détourne son attention du centre de la douleur, ou si on s'efforce mentalement (auto-hypnose) de lui donner une autre signification, on agit sur la communication du message envoyé par la douleur.
Une douleur est un message de stress, le système endocrinien libère à partir de là des endorphines pour procurer une analgésie.
Mais ce système analgésique n'est pas réellement efficace dans les cas de grandes douleurs.

Ce "contôle" du stress et de la douleur à pour effet la diminution de l'activation du système nerveux sympathique, qui stimule la libération d'adrénaline et de noradrénaline dans les médullo-surénales. L'adrénaline étant une hormone qui répond aux états de stress.

Donc, l'hypnose permet de communiquer par contre-réponse au processus dit "normal" du stress et de la douleur, en permettant de les gérer de manière psycho-physiologiquement.

Jipé a écrit:Si on détourne son attention du centre de la douleur, ou si on s'efforce mentalement (auto-hypnose) de lui donner une autre signification, on agit sur la communication du message envoyé par la douleur.
Une douleur est un message de stress, le système endocrinien libère à partir de là des endorphines pour procurer une analgésie.
Mais ce système analgésique n'est pas réellement efficace dans les cas de grandes douleurs.

Ce "contôle" du stress et de la douleur à pour effet la diminution de l'activation du système nerveux sympathique, qui stimule la libération d'adrénaline et de noradrénaline dans les médullo-surénales. L'adrénaline étant une hormone qui répond aux états de stress.

Donc, l'hypnose permet de communiquer par contre-réponse au processus dit "normal" du stress et de la douleur, en permettant de les gérer de manière psycho-physiologiquement.

très bien résumé, donc effectivement l'envoi d'adrénaline et de noradrénaline
agit sur le centre de la douleur donc diminue en intensité la douleur.

par contre l'acouphène subjectif étant une "douleur fantôme" n'entre pas dans ce système,
et dans ce cas seul le détournement par l'attention vers une autre occupation du cerveau
fonctionne, mais dès le moment ou se l'on se trouve dans le silence l'acouphène reviens
puisque malheureusement il est toujours là.

ps: dans le cas de l'acouphène il faut en plus un stimulus de son, exemple
quand je suis sur l'ordinateur il me faut mettre ma radio en bruit de fond
pour vraiment capté mon attention.

encore merci jipé

orthon7 a écrit:très bien résumé, donc effectivement l'envoi d'adrénaline et de noradrénaline
agit sur le centre de la douleur donc diminue en intensité la douleur.

C'est le contrôle de la douleur qui diminue le stress et la montée d'adrénaline...
L'adrénaline stimule l'appareil cardio-vasculaire, les battements du coeur et la vasoconstriction des vaisseaux.

par contre l'acouphène subjectif étant une "douleur fantôme" n'entre pas dans ce système,
et dans ce cas seul le détournement par l'attention vers une autre occupation du cerveau
fonctionne, mais dès le moment ou se l'on se trouve dans le silence l'acouphène reviens
puisque malheureusement il est toujours là.

En principe les acouphènes n'entrainent pas de "douleur", mais c'est une gène récurrente plutôt, un inconfort de vie. Il y a fréquemment des variations d'intensité et d'amplitude, passant du grave à l'aigu.

ps: dans le cas de l'acouphène il faut en plus un stimulus de son, exemple
quand je suis sur l'ordinateur il me faut mettre ma radio en bruit de fond
pour vraiment capté mon attention.

Oui, je comprends, tu couvres le "bruit" de l'acouphène par un autre son ou bruit, c'est une manière de l'annihiler subjectivement.

Oui effectivement on ne parle pas de douleur
mais gène récurrente, qui entraîne une grande
fatigue à la longue, est le fait d'être super irritable.

14400 Hertz ressemble le plus a la hauteur de mon acouphène
un bruit très aigu et permanent avec le quel
je dois vivre.

si tu veux l'entendre voici un site:

http://onlinetonegenerator.com/432Hz.html

il suffit de rentrer 14400 Hz à la place de 432 Hz.

un cauchemar sans off.

orthon

je ne sais pas si le site fonctionne, en rentrant 14400 H je n'entends rien ?

Jipé a écrit:je ne sais pas si le site fonctionne, en rentrant 14400 H je n'entends rien ?

essai 10400 Hz alors et n'oubli pas d'appuyez sur jouer.



moi j'entend encore très bien à 14400 Hz.

Jipé a écrit:S'impliquer dans l'imagerie mentale, l'hypnose ou auto-hypnose (lorsqu'on sait vraiment le faire), mettent en fonctionnement des neurotransmetteurs, ce sont ces stimuli qui permettent la secrétions d'hormones comme la dopamine, d'adrénocorticotrope (ACTH), de vasopressine et aussi des peptides opioïdes, d'enképhaline, et d'endorphine. Certaines de ces hormones sont "bloquées" par un processus psychosomatique ou par une maladie et sont en production insuffisante.
Le "travail" du mental sur le corps facilite une communication du système limbique, en particulier les structures de l'amygdale (celle du cerveau) et de l'hippocampe, facilitant la transmission d'informations qui entraîne des réactions psychophysiologiques corporelles.
C'est ce qu'on appelle un processus de transduction auto-réflexive d'informations.

Désolé, si les termes sont un peu barbares...

intéressant.... je vais voir ça de plus prés