Que serait un site traitant du Judaïsme sans humour?

oui, "train de vie" est un bijou, qui, pour son malheur, est sorti en même temps que "la vita est bella", aussi un chef d'oeuvre, mais qui l'a éclipsé.

Que penses tu de ce son éraillé obtenu avec un crin unique ? Sublime, non ?

Merci pour cet autre film, que je n'ai pas vu ou alors il y a si si longtemps... Je vais le chercher.

Je cherchais certaines scènes dans "trian de vie", quand le "communiste" dit "prolétaire de tous les pays, unissez vous"... et la réaction des autres

Ou alors quand Morderaï, en costume de SS dit "n'est pas allemand qui veut, est allemand qui le mérite!"

Ou le tailleur (?) qui lui apprend l'allemand, et lui dit "l'allemand, c'est comme le yiddish, mais sans l'humour"

Que penses tu de ce son éraillé obtenu avec un crin unique ? Sublime, non ?

Je dirais plutôt : surprenant. xD
Pour ma part, je pense qu'à la longue, ça devient vite mortel, mais l'idée est démente. D'ailleurs je n'ai toujours pas bien compris comment il s'y prenait exactement. C'est un mystère qui a occupé mon père une soirée entière (il est violoniste ^^), sans succès.

Oui, j'adore cette définition du yiddish ! C'est tellement vrai, en plus, quand on compare la rigidité de la langue allemande avec ce qu'en a fait le yiddish. Et puis on parle souvent de l'humour juif, rarement de l'humour germanique, encore moins de l'humour nazi. ^^

Et quand le pauvre comptable voit entrer dans son bureau le rabbin «Bonjour, rabbin !», puis le forgeron, puis Morderaï, puis le professeur, puis le médecin : «Bonjour ***, bonjour Morderaï, bonjour professeur, bonjour... docteur... mais... ??» et en fait ils viennent lui demander de l'argent, mais ils ont pris le médecin avec parce qu'ils savent qu'il va faire un malaise en entendant la somme. xD

Génial, ce film, et quand ils découvrent la locomotive, dans le brouillard au petit matin...

pour le son avec un crin, tu t'y feras, et ne pourra plus t'en passer. C'est typique, je pense, de roumanie (je vais chercher, j'ai un disque superbe)

Dans le cadre d'un esprit oeucuménique voulu par Benoit XVI, deux rabbins assistent à la messe du dimanche, à la cathédrale Notre-Dame.
A la fin de l'Office, un bedeau passe dans les travées avec un énorme panier, pour la quète.
Et les billets de 10, 20 et même de 50€ s'entassent et s'entassent dans le panier...
Alors, l'un des Rabbins se penche vers l'autre et lui dit "comment a-t-on pu laisser partir une affaire pareille..."

Très bonne histoire, merci Claude.

Claude, tu es très optimiste ! Dans mes souvenirs, très anciens, dans les paniers qui servaient à la quête, on trouvait surtout des petits sous !
Pas de quoi nourrir le curé ! Sourire !

Claude Dorpierre a écrit:Dans le cadre d'un esprit oeucuménique voulu par Benoit XVI, deux rabbins assistent à la messe du dimanche, à la cathédrale Notre-Dame.
A la fin de l'Office, un bedeau passe dans les travées avec un énorme panier, pour la quète.
Et les billets de 10, 20 et même de 50€ s'entassent et s'entassent dans le panier...
Alors, l'un des Rabbins se penche vers l'autre et lui dit "comment a-t-on pu laisser partir une affaire pareille..."

ça c'est pas de l'humour juif...

Mère juive!!!

Mère juive: "Allo?'
Sa fille: "Bonjour maman. Je peux te laisser mes gosses ce soir?"
Mère juive: "Tu sors?"
Sa fille: "Oui."

Mère juive: "Avec qui?"
Sa fille: "Avec un copain."

Mère juive: "Je ne comprend pas pourquoi tu as quitté ton mari. C'est un homme très bien.".
Sa fille: "Je ne l'ai pas quitté. C'est lui qui m'a quitté ! "

Mère juive: "Tu l'as laisse te quitter, et maintenant tu sors avec n'importe qui."
Sa fille: "Je ne sors pas avec n'importe qui! Je peux te laisser mes enfants??"

Mère juive: "Moi, je ne t'ai jamais laissé pour sortir avec n'importe qui, sauf avec ton père."
Sa fille: "Il y a plein de choses que tu as faites et que je ne fais pas."

Mère juive: "Tu insinues quoi?"
Sa fille: "Rien, je veux juste savoir si je peux t'emmener mes gosses ce soir."

Mère juive: "Tu vas rester toute la nuit avec lui? Que va dire ton mari quand il l'apprendra?"
Sa fille: "Mon EX mari. Je ne pense vraiment pas que cela le dérange. Depuis le jour ou il m'a quitté, il n'a probablement jamais dormi tout seul!"

Mère juive: "Alors, tu vas aller coucher avec ce bon-à-rien?"
Sa fille: "Il n'est pas un bon-a-rien."

Mère juive: "Un individu qui sort avec une femme divorcee avec des enfants, c'est un bon-à-rien et un parasite."
Sa fille: "Je ne veux pas discuter. Tu veux que je t'emmène mes gosses, oui ou non?"

Mère juive: "Pauvres gosses... avec une mère pareille."
Sa fille: "Pareille a quoi?"

Mère juive: "Une fille instable. Pas etonnant si ton mari t'a quitté."
Sa fille: " ASSEZ !!!! "

Mère juive: "Ne cries pas sur moi. Je suis sur que tu cries aussi sur ton bon-à-rien!"
Sa fille: "Ah voila, maintenant tu te fais du souci pour le bon-à-rien?"

Mère juive: "Ah, tu vois bien que c'est un bon-à-rien. Je le savais immediatement."
Sa fille: "Au revoir, maman."

Mère juive: "Attends! ne raccroches pas! ... Bon, quand m'emmenes-tu tes gosses?"
Sa fille: "Je ne les emmene plus! Je ne sors pas ce soir!"

Mère juive: "Si tu ne sors jamais, comment esperes-tu rencontrer quelqu'un?"

Le téléphone sonne, Madame Bensoussan décroche..
– Maman, c’est Maurice, ton fils.
– Maurice, mais quel bonheur ! Tu es toujours à New-York ?
– Non maman, je viens d’arriver à Paris
– Tu es à Paris ! Mais quel bonheur, viens vite, je t’attends !
– Maman…
- Oui mon fils ?
– Je dois te dire, je me suis marié et je suis là avec ma femme.
– Tu t’es marié, sans rien me dire…. ..!
Mais c’est merveilleux, j’accueillerai ta femme comme ma fille, viens vite…
- Maman…
- Oui mon fils,
- Ma femme, elle n’est pas juive…
- Elle n’est…pas juive…
Ce n’est pas grave, elle est la bienvenue, viens vite…
- Maman…
- Oui mon fils?
– Elle est noire, divorcée et elle a deux enfants…
- Elle est …
C’est très bien mon fils, nous ne sommes pas racistes viens vite.
– Mais Maman, il est tard et il n’y a pas de place à la maison pour que nous puissions tous y dormir.
– Mais il n’y pas de problèmes. Les enfants dormiront dans ta chambre, et vous deux dans la mienne..
– Et toi Maman, tu vas dormir ou ?
– Oh, moi, ça n’a pas d’importance. Je raccroche et je meurs…

Avant de partir en voyage pour affaires, un business de confession juive se rend
en Rolls-Royce jusqu'à une banque new yorkaise et demande un prêt court terme
immédiat de 5000 $.
Le guichetier lui demande des garanties pour lui accorder le prêt. Alors l'homme
d'affaire lui donne les clefs de Rolls en gage.
La Rolls est alors conduite dans le parking souterrain de la banque, et l'homme
d'affaire empoche ses 5000 $.
Deux semaines plus tard, le gars rentre d'Europe, demande au guichetier à
rembourser son prêt et à récupérer sa Rolls. Le guichetier lui répond:
- Ça fera 5000 $ de capital et 15.4 $ d'intérêts.
Le gars prend son chéquier, remplit le montant, donne le chèque et s'en va avec
ses clefs.
À ce moment là, le guichetier l'interpelle:
- Monsieur, monsieur, avant que vous ne partiez, pouvez-vous m'expliquer une
petite chose? J'ai découvert pendant que vous étiez parti que vous êtes
milliardaire. Comment se fait-il que vous ayez eu besoin d'emprunter 5000 $?
Et le gars répond avec un sourire:
- Et comment trouver un parking gardé pour garer ma Rolls pendant 15 jours et ne
payer que 15.4 $?

Un vieux Juif meurt et rencontre Dieu en arrivant au paradis. Il fait le bilan de sa vie :
- La pire chose qui me soit arrivée, c'est quand mon fils s'est converti au catholicisme..., dit-il.
- Moi aussi, lui répond Dieu.
- Et qu'est-ce que vous avez fait? demande le Juif.
- Un nouveau testament...


Bon week-end à tous !

L'Humour a été inventé pour contrer la peur.
L'Humour a été inventé par les Juifs.
Les plus anciennes blagues juives répertoriées historiquement, concernent les mères juives.

C'est un curé qui va chez le coiffeur.
Au moment de payer, le coiffeur lui dit :
- Pour un homme de Dieu, chez moi, c'est gratuit !
Le lendemain le curé revient avec un crucifix pour le remercier.
Un autre jour c'est un pasteur qui vient chez ce coiffeur.
Au moment de payer, le coiffeur lui dit :
- Pour un homme de Dieu, c'est gratuit !
Le lendemain, le pasteur revient avec une bible pour le remercier.
Une autre fois c'est un rabbin qui va chez ce coiffeur.
Au moment de payer, le coiffeur lui dit :
- Pour un homme de Dieu, c'est gratuit !
Le lendemain, le rabbin revient avec un autre rabbin !

Peu de temps après l'élection du nouveau pape, il est d'usage que le grand rabbin demande une audience au pape et soit reçu par lui au Vatican.

La tradition veut que le rabbin se présente avec un plateau d'argent sur lequel est disposé un coussin de velours.

Sur le coussin lui-même est disposée une enveloppe parcheminée qui semble être extrêmement vieille.

Lorsque le rabbin s'avance vers le pape avec ce plateau, le pape est censé étendre son bras en signe de rejet. Puis le grand rabbin doit se retirer, et ne doit renouveler cette cérémonie que lorsqu'un nouveau pape est élu...

Lorsque Jean-Paul II eut à accomplir ce rituel, il se posa la question de savoir ce que signifiait ce rite. Il questionna les archivistes du Vatican, mais tout ce qu'ils purent lui répondre, c'est que ce rite existait depuis très très très longtemps.

Alors, le jour où le grand rabbin arriva, le pape joua le rituel tel qu'il devait être joué, mais alors que le grand rabbin tournait les talons pour partir, Jean-Paul le rappela en lui disant : - Mon frère, je dois vous confesser que ce rituel que nous venons d'accomplir, et qui semble s'être déroulé depuis des siècles entre papes et grands rabbins, a une signification qui m'échappe totalement. Je comptais sur vous pour m'expliquer quelle était la signification de tout ceci.

Mais le grand rabbin lui répondit en baissant les épaules, montrant son impuissance : - Je n'en sais malheureusement pas plus que vous à ce sujet.

Alors le pape dit : - Accompagnez-moi dans mes appartements privés : je vous offrirai de partager un verre de vin, et si vous êtes d'accord, nous ouvrirons ensemble cette enveloppe pour enfin découvrir ce qu'elle cache. Le rabbin acquiesça.

Une fois dans les appartements papaux, devant un verre d'asti, le rabbin saisit l'enveloppe, l'ouvre et en extrait un très très vieux parchemin de ses doigts rendus tremblants par l'émotion.... et lorsque le parchemin est déplié, le Grand Rabbin et le pape constatent que c'était l'addition pour le dernier repas de Jésus avec ses apôtres...

A chaque nouveau pape est, paraît-il, offerte
Par le rabbin de Rome, en son vieux Vatican,
L'enveloppe qui est, depuis la nuit des temps,
Refusée, ce qui fait qu'on l'offre en pure perte.

Un pape et un rabbin, d'érudition experte,
Afin d'élucider ce mystère obsédant,
Ont décidé de voir ce qu'on trouve dedans.
Quand, dans un lieu secret, l'enveloppe est ouverte,

Un parchemin est là, devant leurs yeux surpris.
Les deux vieillards, alors, scrutent le manuscrit,
Craignant d'y découvrir des vérités obscènes.

Le pape et le rabbin ont pu le constater:
Ce parchemin, longtemps des regards abrité,
N'était que l'addition de la dernière Cène.