Asia Bibi

Absolument avec Hassan Al Banna, un fasciste islamiste qui rêvait en 1924 et donc avant Hitler de la domination totale du monde par la peste verte,
de Mawdoudi, Grand Savant de l'islam Pakistanais,
de Sayed Quotb qui considère que même les pays d'islam d'aujourd'hui sont dans la jahiliya, l'ignorance pré-islamique car on ne coupe pas, on ne tranche pas, on ne lapide pas, on ne massacre pas assez dans ces pays.

Le pire et on ne le répètera jamais assez, c'est que ces Oulémas spécialiste du Takfir, du Fiqh et de la Fatwa sont ceux qui ont les connaissances les plus fondamentales des sources et de leurs sens.

Ils n'ont rien à envier aux pires des dictateurs de l'humanité.

Le Pakistan abandonne la réforme de la loi «anti-blasphème»


Le premier ministre a cédé aux pressions des religieux intégristes qui ont organisé plusieurs manifestations dans les rues

Catholique pakistanaise travaillant pour une organisation internationale, Mary est encore sous le choc du dernier discours du premier ministre, le 2 février, annonçant que la loi sur le blasphème ne serait pas modifiée.

Mary – qui pour des raisons de sécurité – ne souhaite pas donner son nom s’indigne de ce lâchage : « La situation des chrétiens n’était déjà pas facile au Pakistan. Cette loi anti-blasphème pèse sur nous comme une épée de Damoclès et peut être utilisée contre nous n’importe comment, en cas de conflit avec un voisin ou un collègue jaloux. Elle punit de mort ceux qui sont accusés d’avoir insulté le prophète. Le gouvernement nous a encore affaiblis. »

Mercredi dernier, Yousuf Raza Gilani, le chef du gouvernement pakistanais, a en effet décrété que la loi sur le blasphème ne serait pas modifiée, que le projet d’amendement proposé par une parlementaire de son propre parti avait été retiré, et que le gouvernement n’avait jamais eu l’intention de changer le texte. Une allocution prononcée à l’Assemblée nationale au lendemain de l’une des nombreuses manifestations organisées par les partis religieux.

Un gouverneur assassiné pour avoir qualifié d’ «inique» la loi
Depuis la condamnation à mort, le 8 novembre, d’Asia Bibi, une mère de famille chrétienne accusée d’avoir insulté le prophète de l’islam, les religieux radicaux poussent régulièrement les foules dans les rues pour mettre en garde le gouvernement contre une quelconque velléité d’amender la loi.

Pour Mgr Lawrence Saldanha, archevêque de Lahore, le discours du premier ministre et le retrait du projet de modification de la loi a consacré « l’acte de capitulation » du gouvernement devant les extrémistes. Des extrémistes qui n’hésitent d’ailleurs pas à affirmer publiquement leur soutien à Mumtaz Qadri, le policier qui a assassiné en pleine rue le gouverneur du Penjab Salman Taseer, tué pour avoir qualifié d’ « inique » la loi et d’avoir dénoncé son usage abusif.

Dans son discours prononcé à l’Assemblée nationale, Yousuf Raza Gilani ne s’est pas contenté de réfuter toute possibilité d’amender la loi, il s’est également désolidarisé de Sherry Rehman, la parlementaire appartenant au Pakistan people’s party (PPP) – le parti au pouvoir – qui avait proposé des modifications à la loi.

La seule solution tenable : se taire
« Sherry Rehman a proposé ce texte de sa propre initiative, il ne représente pas la position du parti du peuple pakistanais dont elle est issue. Elle a d’ailleurs retiré son projet. » Depuis, la parlementaire qui a été menacée de mort sans que le gouvernement ne réagisse, a confirmé avoir retiré sa proposition, tout en précisant qu’il lui paraissait « dangereux de céder aux pressions des extrémistes ».

Pour l’intellectuelle Ayesha Siddiqa, « aujourd’hui le débat est confisqué au Pakistan et il est d’autant plus difficile de questionner l’islam que l’élite l’instrumentalise à des fins politiques ». Mary a quant à elle trouvé la seule solution qui lui paraît tenable : se taire.

Elle encourage sa fille, adolescente à faire de même : « Je lui demande de ne jamais parler de religion quand elle est avec ses camarades, on ne sait jamais ce qui pourrait se passer. Le silence, c’est tout ce qui nous reste à nous, les chrétiens, mais aussi à beaucoup de musulmans qui aujourd’hui commencent à avoir les mêmes craintes que nous s’ils parlent de religion. »
Nadia BLETRY, à Islamabad
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Pakistan: il blasphème dans une copie

La police pakistanaise a indiqué avoir arrêté un lycéen de 17 ans qui aurait blasphémé contre l'islam dans un devoir, alimentant le débat sur la loi prévoyant jusqu'à la peine de mort pour les offenses à l'islam, défendue par les cercles conservateurs influents. Cette affaire intervient un mois après le spectaculaire assassinat, en plein centre de la capitale Islamabad, du gouverneur du Pendjab (centre) Salman Taseer, abattu par un de ses gardes car il était favorable à une révision de la loi et avait soutenu une mère de famille chrétienne, condamnée à mort pour blasphème.

Sami Ullah, élève dans un lycée privé de Karachi (sud) "a écrit un commentaire blasphématoire dans un devoir et ses examinateurs ont alerté la police", bien qu'il ait présenté ses excuses, a indiqué à l'AFP un des enquêteurs, Qudrat Shah Lodhi.
"La police a arrêté le garçon samedi dernier et l'a placé en détention préventive", a ajouté M. Lodhi, sans préciser le contenu du commentaire jugé blasphématoire, pour ne pas tomber à son tour sous le coup de la loi. Karachi, mégalopole portuaire de 16 millions d'habitants et capitale financière du pays, est pourtant réputée plus libérale que bien d'autres régions du pays.

L'organisation de défense des droits de l'Homme Human Rights Watch (HRW) a appelé les autorités à libérer Sami Ullah. "Envoyer un élève en prison pour quelque chose qu'il a écrit lors d'un examen est tout bonnement effrayant", a estimé Bede Sheppard, un des ses analystes.

Quelques politiciens libéraux pakistanais et des associations de défense des droits de l'Homme exigent une modification de la loi sur le blasphème qui est selon eux instrumentalisée à des fins personnelles et encourage l'extrémisme religieux. Aucune peine capitale pour blasphème n'a certes été exécutée ces dernières décennies au Pakistan, les cours d'appel les commuant en peines de prison ou annulant des jugements. Mais le pays est le théâtre d'une montée en puissance des partis religieux.

Effectivement, le Pakistan depuis que les wahhabites ont déversé leur funeste idéologie avec leurs pétro-dollars en même temps est devenu un véritable enfer sur terre pour les femmes, les non-musulmans, les rationalistes.
Un médecin le Dr Younes Sheikh, a été condamné à mort pour avoir simplement dit que les parents de Mahomet iraient en enfer puisqu'ils n'étaient pas musulman, comme Taslima Nasreen, finalement il a été expulsé de son pays et vit en Europe où il ne cesse de sonner l'alarme contre cette secte stupidifiante avide de mort et de sang.
Un prêtre Pakistanais a choisi de se suicider après avoir exposé les doléances des chrétiens au Parlement de ce pays.
Ibn Warraq lui aussi issu de ce pays a écrit un livre Pourquoi je ne suis pas musulman

Grande manifestation, aujourd'hui au Pakistan, pour sacrifier Asia Bibi à Allah qu'elle a outragé grandement en utilisant un verre destiné aux musulmans.
Selon la loi du blasphème, elle doit mourir.

Aujourd'hui le mari d'Asia Bibi est reçu en France par différentes autorités, le ministre des affaires étrangères, le recteur de la grande mosquée, pour tenter de mobiliser l'opinion pour sauver sa femme.
Il explique qu'il n'a pas pu assister au procès de sa femme car il aurait été lynché à mort.

Le pape a demandé la libération d'Asia Bibi. Résultats, manifestations, les islamistes crachent sur le portrait du pape...



Malgré la condamnation à mort par pendaison d'Asia Bibi, les mollahs appellent les gardiens de prison de faire leur devoir de musulmans, c'est à dire de tuer "la chienne chrétienne" en promettant une prime.

Les deux personnalités pakistanaises qui avaient pris parti pour défendre Asia Bibi, le gouverneur du Penjab, et le ministre des minorités ont été assassinés. Chaque jour qui passe, elle risque d'être assassinée en prison.

Le livre "blasphème" racontant le drame d'Asia Bibi vient de paraitre et une partie des droits d'auteurs ira à la famille.

Tout ça pour un verre d'eau ! et ça se passe au 21ème siècle !
Incroyable !

Pour l'islam, nous sommes en 1432.

Que fait Obama ?

Obama apprend l'art d'être dhimmi

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Pas mal la photo !

Est-ce qu'il a perdu quelque chose et se penche pour ramasser, ou est-ce qu'il se soumet ? mais envers qui ? les rois du pétrole ? C'est Sarko derrière qui se fend la poire ? et DSK qui raconte sa dernière aventure ...

Sauvons Asia Bibi !