Ecrits-Poèmes, histoires, comptines, adages ..... de Nuage

le 09/09/09




C’est l’histoire d’un tout petit enfant qui vivait toujours dans sa bulle.
Sa bulle flottait tout près du sol, et pouvait avancer et aller où bon il voulait s’approcher ou survoler.
Il modulait suivant sa curiosité, et ses retraits.
Sa bulle était faite d’harmonies. D’harmonie remplie de ressentis.
Il ne se posait aucune question, il observait et se fondait avec les choses, les gens, les situations.
Surtout avec les gens, car ils sont vivants, et ont des sentiments.
Le Temps, le Vent, car ils sont plein de suspend et de mouvement.
Il aime bien les choses aussi, car elles ont un touché, un ressenti.
Mais il ne touche que les objets qu’il a identifiés. Et toujours dans un contexte d’harmonie.
Il aime bien se laisser porter par toutes les atmosphères qui tournent autour de lui, il s’en imprègne, et grâce à cela il peut les comprendre.

Je vous remercie de nous apporter un peu de fraîcheur, Nuage. Vos textes sont très beaux.

Merci Stirica, c'est très gentil.

freefox, j'aime bien parce-que tu es un pingouin trop mignon.

le 10/10/09



Qui suis-je ?

Je suis la personne qui relativement se connait, et qui aime le fait de toujours changer.
J'essaye de vivre chaque instant comme il est, car je sais qu'il est moi.

J'aspire à toujours tout découvrir, et souvent je rêve à atteindre les choses qui ne m'ont pas été fini de donné, mais je ne suis pas pressée.
J'aime vivre avec ce que j'ai, car avec je peux rire et pleurer.

Des fois les gens me regardent bizarrement, comme si j'étais une enfant, mais ils voient bien que non, alors ça les dérange.
Des fois certains me voient tellement forte, qu'aucune faiblesse ne m'est accordée.

Souvent on ne comprend, que je ne comprenne pas.
Et souvent je comprends ce que eux ne comprennent pas.

Ils sont rares les gens qui voient à l'intérieur de moi, et souvent ils ne voient qu'une partie de moi.

Je suis ce que je suis, mon univers, fait d'étoiles et de terre, des fois recouvert de glace mais toujours avec beaucoup de chaleur à l'intérieur,
Alliage du Tigre et de la Vierge évoluant avec le Bois.


J'aime bien quand je marche, dire bonjour aux gens qui passent, car l'espace d'un instant, je vois arriver sur le visage leur Présence.
On est si peu de chose, perdu et oublié
Que quand pris au dépourvu, le visage en est surpris et peut exister.

Nuage a écrit:le 04/09/09

Histoire : Les enfants perdus

- L'enfant dit : " je ne comprends pas, je ne comprends rien. Je ne saurais même pas à quelle chose il faudrait que je pense. Quand à regarder, comprendre et agir, je ne saurais même pas par où commencer, ni même y penserais.
Ces choses là, ne me viendraient même pas à l'esprit. Ou quand celles-ci fugaces me le disent, tout de suite après j'ai oublié.
Et même ces mots, ça doit être dans un rêve que je les dis ; car dans la vraie vie, je sais que rien ne se dessinerait à mon esprit. Passif et submergé, au quotidien, je jongle avec les situations qui viennent sur moi m'interagir. "


- L'adolescent dit : " je suis perdu, je ne sais pas ce qui m'arrive. J'ai mal, c'est douloureux, ça m'est insupportable.
Tout a changé, mes nuits sont des cauchemars éveillés, où jamais je ne peux me réfugier.
Ce que j'ai vécu, le lendemain déjà je ne m'en souviens plus. Comme une brume, je sais juste que c'est passé.
Et la journée, toutes choses m'insupportent. Agressif, j'interagis avec tous ceux qui ne comprendraient rien.
J'apprends aussi les bons moments. Et le quotidien ressemble à un feu d'artifice, qui claque toujours entre ses pauses. "


- L'adulte dit : " je comprends mieux. Maintenant je suis habitué, et je me souviens mieux.
Mais quand je comprends, c'est toujours dans les parenthèses. Et puis encore, je les oublie.
Ma vie a plus d'harmonie. Mais quand je la regarde, elle fait toujours le grand toboggan.
Je suis fatigué, car je ne garde jamais l'équilibre. Et mes perceptions ne sont jamais sur le même plan.
Et puis je ne sais toujours pas ce qui m'arrive. "


- La compréhension dit : " Tu ne comprenais, tu ne voyais pas, tu n'arrivais pas à agir. Tu as beaucoup travaillé.
Submergé, à un moment, tu n'arrivais plus à faire face. Tout a changé.
Mais dans cette nouvelle dimension, le moment venu, la compréhension a pu arriver, fugace, que quand tu n'y arrivais plus.

Tu as perdu cette tranquillité, mais tu as gagné ce que tu ne voyais. Mais rassures-toi, rien n'est perdu. Ça ne sert à rien de forcer.
Ensemble, il suffit juste qu'on vive chacun notre harmonie. Tu verras ça ira mieux. Et quand on y arrive, alors on peut s'aligner. "

- Les enfants perdus, qui ont trop travaillé, et qui se sont retrouvés submergés, se sont tous retrouvés dans le pays qui s'appelle bipolarité.

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Très jolis, tes textes, Nuage ! Mais tu es jeune, et il te manque un paragraphe que je n'aurai pas le plaisir de lire quand tu pourras en tirer ta propre philosophie !
Le vieux (ou le croulant ou le barbon...) dit : "...
Alors, fais un effort, et imagine !
Sinon, je demanderai à ma muse et amie JO de m'inspirer ! Elle m'apportera le calme et la sagesse !

Mon cher Gaston, ce paragraphe doit certainement se trouver sur un autre parchemin ; car sur celui-ci il n'en manque point.

Merci à toi

le 24/10/09

Changement d'Horaire, heure d'hiver


Changement d’horaire ;
Haaaa ! l'heure d'hiver ... Plus qu'une heure de décalage avec le soleil.
Un rêve intouchable qui toujours se profile à l'horizon, et dont jamais je n'attrape le temps.





le 26/10/09


Les Saisons - I


Automne chavire
Dans l'écharpe qui s'étend
Etirant le temps
Protégeant les sentiments
Enroulant les tourments
Emmitouflant les gens
Automne des saisons
Où le temps s'écoule lentement
Pour avoir le temps
De regarder et de se charger
De ce qui passe sur le foulard du Temps

le 28/10/09





Tous les matins du Monde
Où se lèvent les regards
Les pensées qui s'égarent
Viennent à nous pour notre égard à l'espoir
De croire, qu'un matin, pourrait dire autre chose
Que ce que nos yeux veulent bien voir






Quand les Temps se font présences, souvent on peut y voir, ce que le regard considère comme une brume, un brouillard.


Temps de solitude, où les sentiments osent se déclarer
Temps de tourment, où le cœur ne veux, ne peut s'exprimer
Temps de réserve, où les harmonies se font chuchoter
Temps de doutes, où les accords se font des croche-pieds
Temps d'amplitude, où les humeurs se mettent à exalter
Temps de bonheur, où l'âme se met à flotter
Temps de raison, où la tête discute avec ses choix
Temps de frisson, où le corps se fait exister
Temps de déraisonnance, où le coche ne veut pas sonner
Temps d'insouciance, où la légèreté court avec présence
Temps de clameur, où l'intérieur résonne avec l'extérieur


Les Temps souvent sont des saisons, qui battent ou sous-poudrent ses ailes parfumées dans le vent.

le 29/10/09



Tous les matins des Tourments
Quand je vois sa teneur
Malgré mon cœur qui va vers ce qui doit être fait
S'écarte à force de voir s'échapper
A chaque fois en face un pas de côté
Qui s'écarte et tombe, pour toujours retomber
A côté de ce qui est

Tous les matins des Tourments
N'arrive à supporter
Quand il voit le regard d'à côté
Pris de peur et de tourments
Que ses actes ont fait, implicitement et explicitement
Alors qu'au départ rien n'était mauvais

Tous les matins des Tourments
Voudrait s'échapper
Pour plonger dans ce qui est
Fuir ce qui est à côté
Arrêter de penser, de porter
Juste partir, aller, rentrer, respirer, s'enlacer
Dans le tourbillon de ce qui est
Au milieu de la fureur, de la vie telle qu'elle est, hors des apartés

le 03/11/09




Je recouvre mon cœur sur mon cœur
Comme un baume qui l’enroberait pour le protéger
A l'intérieur il y a une profonde tristesse
Qui ne veux plus s'exprimer
Elle se referme sur elle-même, car en vain elle ne peut exister
Les mots chauds, comme la Pluie de Novembre, ont cessé d'exister
Et se sont changés pour se réfugier sous le toit du berceau de la voûte cachée






Comme une plaie, je recouvre mon velours
Pour qu’il se fasse velouté blessé
S’enfermer, étouffer, afin d’empêcher
Que tout, de mes frottements de doigts,
Continue à dérailler

Les tremblements des séismes,
Qui existent parce que l’absurde, le non concevable, non admissible,
Persiste à rester amarré devant mes pieds

Le seul moyen que j’ai trouvé pour Résister
Au Trop qui pourrait devenir Trop, Trop Fort de s’entrechoquer
Partir, se retirer, se cacher, afin de préserver
Préserver à ce que mes yeux je n’aurais pas voulu blesser

Arrêter mes tourments, arrêter de ne plus y arriver
Arrêter que l’insupportable devienne faisable
Arrêter ce que je ne pourrais plus maitriser
Je n’ai que moi pour me réfugier
Et même cela en devient Trop

"Petits Mots : Les mots."

Oh... que j'aime celui là !

Les autres aussi sont superbes, et sans te connaitre véritablement je t'aime déjà beaucoup.

Alors là j'ai un nuage de chaleur qui se dégage, j'ai pas les mots ....

En tout cas c'est super chaleureux ce que tu dis mothman, Merci !

le 06/12/09


---Mon Château


Je rêverai d'un château
Où les tours seraient des rêves
Les desseins, abrités de ses murs
Où les cartes n'existeraient pas
De leurs poids ne pourraient pas
Ni trancher, ni s'effondrer
Mon château serait mon refuge
Idyllique à mes occupations
Mes pensées feraient leur pâturage
Mes proches de l'amour à donner
Comme s'ils rentraient et faisaient partie de mon décors
Avec le sourire sur le cœur
J'ai cru que je vivais et que l'on voyait mes sentiments
Mais on me dit que rien ne transpire de mon cœur
Invisibles aux yeux de tous ceux à qui je parle
Et immenses aux miens
Alors je voudrais me réfugier dans mon château
Celui que j'ai laissé
Pour vivre autour des autres.


Ce monde que j'ai appris à aimer
J'en ai longtemps cherché la porte
Brûlée à ses barreaux comme Aragon l'a dit
Frappé ses murs qui m'étaient interdis
Incompris tout ce que je voyais
Hurlant ma douleur des choses déformées
Perdue entre les chemins des labyrinthes secrets

J'ai alignée mes visions
Pour qu'elles soient sur le même plan
Donner les perspectives d'une même chose
Pour qu'elle puisse être sa dimension
Et qu'enfin je puisse la voir
Sans que celle-ci me soit insupportable

J'en ai oublié mon château
Que j'avais laissé derrière moi
Au pied de mon labyrinthe
Devant un petit chemin,
Foulé avec mes petits pieds de graine

Ce monde que j'ai appris à aimer
Ma donné ce qu'on appelle la bipolarité
Pour moi c'était mon nouveau flot, sur lequel je naviguais
Laissant derrière moi les méandres, des choses incomprises
Je pouvais exprimer mes sentiments
Même si souvent on ne voyait d'abord
Qu'une tour de Glace

Ce monde je l'ai tellement aimé
Faut dire que j'en ai longtemps rêvé
Même quand il me donnait des claques
Qui me faisaient à chaque fois chuter
A chaque fois je me relevais
Et de mes pieds je recommençais à avancer
Le sourire sur le cœur revenait
Et je me battais pour lui, pour moi
Avec mes rêves éveillés et concrets

Au bout de la course il m'aura volé
Les dernières espérances de pouvoir m'intégrer
De ce que l'on appelle
Etre utile à la société, pour faire tourner le Monde
Préférant détruire et démolir ce que je pouvais apporter
Il me restait mes Sentiments
Un univers qui pouvait faire toute sa chaleur
Là où il voulait

Mais ce monde, je ne sais pas comment,
Est en train de vouloir démontrer
Que même si je crois bipolarité
Je n'exprime aucun sentiments
Alors les choses sont impensables
Mes perceptions foutent le camp
La Douleur tellement insupportable
De me faire croire que j'aurais vécu
Dans un mirage tout ce temps
Tout cela est tellement inconcevable
Que mon Château, me tend ses bras
Au pied du labyrinthe dans lequel je ne veux pas tomber

J'appelle mes Amis pas encore trouvés
Pour me dire que ce n'est pas vrai
Et que eux ils existent bien.

Waaoww je ne sais que dire si ce n'est que je suis toute émue

....... Je crois que j'avais laissé quelque chose en suspend .... il y a 7 ans ...

Alors autant s'en débarrasser ....


le 08/02/10


Les lucioles


J'aimerais que nos cœurs, on fasse éclater de ce qu'il y a
Que nos doigts, touchent ce qui apparait, ce qui flotte autour de soi
Croyez-vous que nos regards pourraient se voir
D'un coup de pied, frapper la pierre des choses concrets
Pour la faire avancer, rouler, plus vite que le fait de ne pas avancer
J'aimerai tellement croire, voir,
Qu'enfin nos destins, se voient sur le même chemin
Comme les lumières des lucioles, qui virevoltent
Sur le destin des choses racontées, remplies de faits, d'histoires vraies
Mon cœur en est gros des larmes qui tombent sur mes mains, mes pieds, mes pas
De voir sans voir

La retenue des choses absurdes, de mon peuple, ma famille
Qui passe comme des ombres qui ne me, ne se, reconnaîtraient pas, sans même marquer le pas
Perdus dans les choses incrédules qu'il ne faudrait pas rêver,
Regarder, ne pas y penser. Trop absurdes !
De croire que cela pourrait être vrai
Bloqué de ses propres pas
C'est tellement incroyable, de croire plus à ce monde affable,
Qu'en ce qu'il se dégage de l'intérieur de soi

La Force des choses qui virevoltent autour de soi
Touchez de vos doigts, pour rendre présence, ce que vos yeux voient, aperçois
Eclatez de vos cœurs, ce en quoi vous croyez, Afin, Enfin, de pouvoir se rencontrer.





Et d'un ...

Gaston m'avait demandé d'utiliser mon imagination pour écrire un cinquième paragraphe, à mon histoire des enfants perdus, car il trouvait qu'il en manquait un, qu'il aurait bien voulu pouvoir lire.
Et je lui avais répondu que sur ce texte là, il n'en manquait aucun. Et c'est vrai que je ne pouvais pas lui écrire ce cinquième paragraphe, comme je n'aurais pas pu écrire de sixième, septième ....

Mais il y a tout de même quelque chose sur ce texte qui a changé. Alors en souvenir de ces moments partagés, je me permets d'y rectifier/ratifier ce qu'il y manquait.







le 31/03/10

Petits mots, mot à mot :

(Texte à quatre mains avec Fred&Ric)


Fred&Ric :

Enfiler sans filet !

Faut-il ou ne faut-il pas
Tout renait 7x77 fois
Ses petits doigts
Avant de réagir
Sur un fil ?

Je me sens comme une épingle
A côté d'une bobine
Il me manque quelque chose dans la vie
Qui me permettrait de l'enfiler !


X alias Nuage :

Prends ton fil et ta bobine
Car tu es tombé sur une épine
Et enfile ton épingle
Car l'épée nie le fil
Ne tireront l'épingle du jeu

le 18/07/10


Mes Hommes – Amours


Y'a des personnes que j'aime
Et dont je ne peux aller voir
Car cela en fausserait les données de ce qui est
Car eux même en ont perdu la roue de ce qui devait être fait
Alors tout ça ne ferait qu'accentuer ce qui est perturbé

Y'a ceux qui ne prennent même pas la peine d'une réponse
Alors qu'eux même de leur côté en demandaient
Ils ne respectent pas l'équilibre des choses présentes
Et se refusent à croire qu'on pourrait sentir ce qui se dégagerait
Du moment qu'ils n'en parleraient, comme si cela était caché

Y'a ceux qui ne savent pas où ils mettent les pieds
Et qui veulent griller toutes les étapes de ce qui est
Croyant que les vagues vont les porter
Sur un univers qu'ils se sont imaginé
Refusant d'écouter, regarder, ce qu'en face on veut leur montrer
Persuader, que tout peut être fait, car eux voient leur monde espéré
A leur portée

Y'a ceux qui s'engagent dans des valeurs réciproques
Car celles-ci viennent du cœur, et ne peuvent qu'exister
Et puis qui ensuite petit à petit, le moment venu, ne sont plus là
Parce qu’ils ne sont pas capables d'être là.

Y'a beaucoup de ceux ....... qui sont ...... mais qui ne sont plus
A force que tout soit perturbé, et qu'ils ne veulent pas reprendre
De leurs doigts les choses qui pourraient dérailler
Comme s'il était plus facile de se laisser aller, que de faire avec
Ce qui est en face de soi et dans soi

Alors je suis triste et finalement seule
Mes perturbances ne font que s'accentuer
Perdue, à force
A quoi bon parler, en face rien n'est jamais calé
Je sombre de perdre ceux que j'aime
Mal de ne savoir où me réfugier
Reprendre mon nounours de renard pour avoir juste quelque chose sur le cœur qui correspond à ce qui est.

Et bordel vous faites chier !

Tiens, je profite de ce moment pour pousser un coup de gueule, que je n'avais jamais fait.

gaston21 a écrit:nuage, n'hésite pas à t'exprimer, à sortir de la bulle physiologique qui  t'enferme et que nous avons certainement de la peine à imaginer . Nous serons heureux de te tenir compagnie et de t'apporter notre soutien.
Que ton esprit soit le cerf-volant, et même un cerf-volant sans attache..

"sortir de la bulle physiologique qui m'enferme ..."

Mais quelle bulle physiologique ? !! Qui m'enferme ...


Âa gaston, je t'adore et je n'avais rien dit parce-que ton mot et ton attention était des plus chaleureuses,
mais b@@del de m@@de ! Quelle bulle physiologique qui m'enferme ?!!

L'Ecrit-poème qui en faisait référence, datait de plus de deux ans et demi avant mon post le contenant.
Et cela faisait quatre mois que j'étais sur le forum et que je naviguais avec vous.

A présent je rassemble, différents écrits-textes qui avaient été fait pour ou en réponses à différentes personnes (ces textes sont publics), même si quelques écrits-poèmes et adages ... autres, se trouvaient normalement insérés chronologiquement entre ; je mettrais ces derniers après.

D'ailleurs, les deux textes de Juste des mots, pour un ressenti, un regard étaient également des écrits-réponses.



le 18/07/10

Petits mots, mot à mot :

Les Dédicaces  (Réponse pour les "Photos dédicacées" de JuLiEn°°)

Les dédicaces
Marquent
Les Sentiments
D'un moment
Où passe
La trace
Des rêves
Présentés
Et touchés
Sur la Page
Du fil
Des pensées
Représentées




le 20/07/10

Les musiques de Jacques

Ça me rappelle une musique lointaine
Et si familière
Où les paysages glissaient sur les flots et les mots
Douces au cœur des choses chuchotées
Et ressenties, sur le paysage des pensées partagées
Où la vie, était un murmure qui roulait
De ses vagues, flottait, le battement de nos cœurs
Qui regardaient, et écoutaient, tout recommencer.




le 07/10/10

Chimères

Demain est un autre jour
Où la vie se construit au jour le jour
Un pas, puis l'autre,
Dans la vie qui nous entoure
Souvent un regard qui s'étend
Trop loin devant
Alors qu'à côté de la main,
Un sourire, un regard voudrait en dire plus long
Mais ne sait plus comment

Un pas, puis l'autre,
Juste une attention
Pour dire que peut-être,
L'univers restait à être créé

Un pas, puis l'autre,
Juste une attention
Pour dire, une compréhension
Pour un regard qui aurait voulu en dire long
Tout peut être regardé, juste ne pas rejeter
Ce monde intérieur, de l'autre à côté,
Pas exploré, ni créé

Un pas, puis l'autre,
Juste regarder ceux qui nous entourent
Ceux dont on a oublié le secret




le 28/12/10

Les Petits bouts par petits bouts

Petits bouts par petits bouts, c'est ce qu'il faut faire pour joindre les bouts.
Bouts de chemins, bouts de vies
Bouts d'envies, bouts de délies
Délies d'envies, de délier les vies
Chacun son chemin, chemin de vie,
Comme disait Tout un chacun
Regardé sur le revers de la main
Les étoiles sur la main
Pour faire des bouts
Bouts de chemins
Assemblés pour avancer
Par petits bouts
Qui font continuer à avancer
Et qui se retrouvent, regroupés,
Disposés,
Sur les étoiles du chemin.

Daniel est un ami de l'adolescence, c'était en quelque sorte mon protecteur ; j'en avais parlé sur le forum il y a bien longtemps ; c'était la personne qui par la suite, à chaque fois que je pensais à lui (avec le coeur) lorsque je marchais en ville, alors que nous ne nous étions pas vus depuis très longtemps (1 an ou plusieurs années), apparaissait devant moi à la croisé d'un chemin, dans les minutes qui suivaient  ... (environ un quart d'heure max, je ne sais plus ... faudrait retrouver le thread en question ...).



le 20/07/10

Daniel, les yeux brillants


Daniel il feu, il fond
Derrière ses yeux, il tend
Le regard, qui glisse
Sur la toile, prémisse
Des secrets touchés
Sur la toile de fond
Où les cœurs glissent

Daniel il fait, il fond
Lorsqu’il ressent
Les choses cachées
De ses secrets
Glissés en arrière fond

Daniel il rit, il glisse
Quand il regarde les prémisses
Des choses trouvées
Sur son cœur caché

Daniel, il brille, il vit
Quand ses yeux s’écarquillent
Sur la note devant
Le sourire sur le temps
Regarde loin devant





A présent, je vais pouvoir poursuivre normalement le fil de mes écrits-poèmes, comptine, adages ...

le 08/10/10

(Chansonnette-Comptine)

Des Petites choses qui se jettent, et se ramassent, sur la voie


Une voie, une petite chose,
Les cailloux, se jettent, sur les choses
Un pas, un petit morceau,
De chose, qui se jette, sur la voie

Je crois, aux petites choses,
Qui se jettent, qui se jettent
Je crois, aux petites choses,
Qui se jettent, quand j’y crois

La la, lala la,
Lalala lalala,
La la, lala la,
Lalala lala la

Tu vois, ces petites choses,
Qu’on jette, qu’on jette
Tu vois, ces petites choses,
Qu’on ramasse, sur la voie

J’y crois, en ces petites choses,
Que l’on jette, que l’on jette
J’y crois, en ces petites choses,
Que, je ramasse, sur la voie

Li la lilala
Lilali lilala
Lila lilala
Lilalilalala

Tu crois, que ces petites choses,
Sont des gestes, sont des gestes
Tu crois, que ces petites choses,
Sont, des pas, jetés, sur la voie

Une fois, des petits gestes, des petits gestes,
Une fois, des petits gestes, qui restent, sur la voie
Deux fois, des petits gestes, des petits gestes,
Deux fois, des petits gestes, auquel, on croit

Ta ti titatata
Ta ta ti Ti ta ta
Ta ta titata
Ti ta ti Ta ti ta ti

La la lalala la la la la
La la lalala la la la la la

Une pierre, sur la voie,
Qui se roule, qui se roule
Une pierre, sur la voie,
Qui se roule, dans nos pas

(Principes – Adages)




(Principes – Adages)




Formule alchimique :

[Alias X], comme tu dis que tu es soumise à cette loi du "Tout ou Rien" malgré toi, et ce depuis longtemps, en étant à cycles rapides en prime, alors je te conseille de travailler son principe opposé (même si ce n’est peut-être pas les termes de la formule exacte) :


"la Répartition et la Modulation" + "la Macération et la Réflexion" ; afin d’y influencer ton principe de base et y apporter la Nuance et la Patience, ce qui te permettra de trouver ce que tu cherches : l’équilibre du



Le Couple heureux



Avoir les cartes en mains

• La boue, c'est comme la cuisine, si on la mélange mal, ou si on saute à pieds joints dedans, elle nous gicle dessus, ou a un mauvais goût.
  Tout est question de dosage, lorsque l'on veut brasser ses propres ingrédients.

• Il existe des gens qui ne savent pas changer leur regard sur les choses.
  Si leur vie est remplie de vide ou d'ennui, certains, afin de remplir leur quotidien, aiment dispatcher des grains de merde, et ce afin de pouvoir se délecter et rebondir sur les réactions des autres.
  Peu importe que ça soit douloureux ou souffrance pour ceux qui réceptionnent ces grains, car pour celui qui les a envoyé, ce n'est que vie, et il estime que ce que lui peut affronter et supporter, les autres peuvent ou doivent les affronter et les supporter.
  Et pourtant, lui-même ne s'attèle pas à changer son regard sur les choses, afin de remplir lui-même sa propre vie.

Formule alchimique :

Je fouille dans mes poches et je sors un petit papier griffonné qui traine :

• Confiance en soi = Estime de soi + Assurance


Mon psychiatre m'avait dit qu'il manquait l'amour avec la formule.
Je n'étais pas d'accord sur le coup. J'y ai beaucoup réfléchi, et puis je me suis dit finalement qu'il avait raison, il faut de l'amour reçu aussi, même si c'est un petit peu, car c'est avec ce un petit peu qu'on construit un univers.

Confiance en soi = Estime de soi + Assurance + Amour

Mais je me dis avec réflexion, que l'amour en fait, doit surement faire partie de la formule de l'Estime de soi.



(Principes – Adages)


Le présent nait de l'instant ; même s'il contient du passé, celui-ci évolue avec le présent.
Et il construit le futur, fait de l'instant présent.


(Principes – Adages)


La Confiance

La confiance ça se gagne, et ça se perd.
Mais pour de bonnes raisons.
Et ça ne se commande pas.


Le cousin de la confiance : l'estime.



L'Orientation, Comprendre et Apprendre


- "Pour apprendre, il faut d'abord comprendre."

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- "Pour s'orienter, il faut d'abord se repérer.
Mais pour se repérer, il faut se situer.
Pour se situer, il faut comprendre.
Et pour comprendre, il faut identifier.

Mais pour beaucoup ces mots veulent dire la même chose."