@Krinou: Rationnel "versus" irrationnel.

(J'ai édité la fin du post précédent:
Et par là (comme tout Homme est philosophe), je pense que vous avez quand-même su - fût-ce par vous-même - que la philosophie n'a nullement le but de démontrer la pratique !)

Si je vous donne la réponse, ce n'est plus de la philosophie, (et par là-même, un crime de lèse-majesté) !

Mon oncle est déjà arrivé depuis un moment, je dois aller manger. Me feriez-vous l'honneur d'essayer de conclure ensemble, pensâtes vous devoir user de condescendance en inclinant lorsque vous ne savez pas, en essayant au moins de comprendre ce que je veux dire ?

Mais je n'ai jamais prétendu vouloir philosopher, dois-je vous rappeler que c'est vous qui avez ouvert ce topic. Je me suis pliée à votre volonté par curiosité et par respect pour vous mais pour être franche, je trouve que la conversation prends un tournant assez déplaisant.
Il est évident que vous n'arriverez pas à me convaincre et ce n'est pas en usant de paroles empruntées à des temps révolus que vous y arriverez.

Bon appétit quand même.

Vous n'avez aucunement à vous plier à ma volonté, et ceci, depuis le départ !
Si vous savez qu'il est impossible de vous convaincre, pourquoi commencer une discussion ?

Par ailleurs, alors là, si la conversation ne vous plaît plus, et je peux le comprendre: il faut arrêter tout de suite.

Je sais que vous ne prétendez pas être philosophe, c'est moi qui vous disais: vous en êtes certainement une.
Mais alors là, si vous ne prétendez pas "vouloir" philosopher, pourquoi venir sur un forum de philosophie ?

Parce que je pensais que nous aurions une discussion, hors-là, j'ai le désagréable sentiment que vous voulez à tout prix que j'adopte votre point de vue. Cette conversation n'est pas équitable.
Vous me donnez l'impression d'un maître faisant la leçon à son élève. Vous adoptez un ton et une façon de me parler qui me place dans une position inférieure et c'est très désagréable. Je ne suis pas cultivée, mais je ne suis pas stupide.

J'ai parfaitement vu que vous n'étiez pas "stupide", comme vous l'écrivez, sinon je n'aurais pas passé des heures à essayer de vous convaincre !
Pourquoi voudrais-je que vous adoptâtes mon point de vue ?
Parce que vous concluez en prétendant que vous n'êtes pas convaincue, et que par là vous n'avez pas de "sources" autres que les miennes ?

Peut-être que, en effet, la discussion n'est pas équitable, et si cela vous donne de mauvais sentiment, il faut arrêter là.

Si votre but n'est pas que j'adopte votre point de vue, quel est-il alors ?
Merci de reconnaître que je ne suis pas stupide, je commençais à avoir un doute.
Il y a contradiction avec vos deux premières phrases. Dans votre première phrase, vous reconnaissez avoir passé des heures à essayer de me convaincre et dans la phrase suivante vous le niez.

Ce n'est pas exactement une contradiction:
J'aimerais vous convaincre, sans que cela se fasse sous la forme d'une adoption (de point de vue). Je souhaitais en effet "vaincre" vos réticences. Mais pas que vous "échangiez" vos pensées simplement par les miennes !

Si j'adopte votre point de vue, alors vous m'aurez convaincu donc si, c'est contradictoire, vous jouez avec les mots.

Pas exactement (pensez ne serait-ce, qu'à la "sonorité" des mots, ou plutôt leur ressemblance ethymologique avec d'autres; ils n'ont pas la même connotation):
Si je vous avais convaincue, vous auriez (presque) adopté mon point de vue.
Mais adopter un point de vue, ce n'est pas être convaincu !

Dans le cas extrême, nous parlions des grandes guerres :
Les nazis, avaient adopté le point de vue de Hitler.
Lequel pourtant étaient anti-crédible, ne fût-ce que sous le bon sens.
Pourtant, les nazi ont adopté - fût-ce sous la crainte - son point de vue. Je doute franchement qu'il en avaient été tous convaincus. Il n'y eu qu'à voir la tête de certains, lorsqu'on leur a montré les films d'extermination.

Donc "convaincu", et "adopter point de vue", ce n'est en tout cas pas la même chose.

Si vous voulez, vous marquez un point. Mais pour adopter votre point de vue, encore faudrait-il que je sache qu'elle est la finalité de cette conversation ? J'avoue avoir perdu le fil.
J'édite : je vais passer à table alors je vous laisse, à bientôt.

Je refuse que vous "adoptiez" mon point de vue. S'il vous plaît arrêter avec ce terme, qui n'a aucun sens, comme je viens de vous le dire.

Sans vous dire la réponse à mes questions, je vais vous faire un résumé des questions parcourues:

Je doutais depuis le départ que vos actes furent instinctifs,
nous avons effectivement conclu en dernier le contraire (cf. précédents posts),
je voulais vous monter qu'une décision rationnelle n'avais pas pour autant une origine rationnelle (choix d'un des deux couteaux),
et enfin, j'espérai vous faire comprendre que la même réflexion - rationnelle - ne pouvais pas être dévolue à quelque chose d'exclusivement irrationnel en soi.

Je crois de mémoire que nous avons parcouru tous ces points, mais pour le détail, cela n'aurait aucun sens que je récrive le détail de tous nos posts, qui sont là, précédemment.

-Edition: alors, si vous me le permettez, comme je le quémandais depuis un petit moment, je vais aussi passer à table. Avez-vous une heure de préférence pour me poser des question plus tard ?

Demain 17h30 si cela vous convient.

D'accord, mais cette fois, vraiment 17h30, d'accord ?
J'ai tellement écrit que je suis exténué.
Et cette fois, ce sera vous qui me poserez des questions, d'accord ?

Mais je n'ai pas de questions à vous poser. Je pense plutôt que nous devrions reprendre la conversation là où nous l'avons laissé.
17h30, c'est parfait pour moi.

Alors si vous n'avez pas pour votre part d'interrogation, alors effectivement, vous ne "voulez" pas philosopher, comme vous l'écrivez (et par la force des choses: vous en savez beaucoup plus que vous ne le pensez et ne le faites remarquer).

Demain 17H30: accordé.

Bon alors écoutez, Karine: On va arrêter là.

"le lynx" m'a écrit on long message privé me disant en résumé (et sous-titré "pointe d'humour"):
que nos échanges n'étaient pas assez intéressants pour lui,

et que rendre sa pensée publique ETAIT TABOU !

(Première nouvelle, pour la philosophie.)

Alors je vais de ce pas créer un nouveau Thread, où ce sera lui
- sous un pseudonyme - qui me posera des questions; et nous allons bien voir ce que nous allons voir.

Désolé encore pour le terme de cet échange, Karine.

Bonsoir ACourvoisier,

je viens de prendre connaissance de votre commentaire. Vous n'avez pas à être désolé. Même si notre conversation était un peu tendue dans les dernières lignes, ce fût un plaisir de discuter avec vous.

Merci, pour moi aussi ce fut un plaisir!

Bonjour ACourvoisier,

Je veux bien reprendre la conversation où nous l'avions laissé, mais, s'il vous plait, essayez d'adopter un langage plus, comment dire...accessible.

D'accord, et merci.
Donc reprenons le milieu exact de la discussion, c'est à dire la page 3. (Je vous signale au passage que ma mère accorde beaucoup d'importance à ce que je sois à table, et hier, cela n'a pas très bien passé; par conséquent, nous devrons conclure ou interrompre avant 18H45.)
Donc en face du problème de choix des couteaux équidistants, vous avez réfléchi ?

Avant d'entamer la conversation, Bulle a suggéré de créer ce même topic dans une discussion ouverte à tous, seriez-vous d'accord ?

Mais alors là, ça change tout. J'aurais été d'accord au départ. Seulement maintenant: nous avons déjà une partie des réponses (ce qui n'est peut-être pas plus mal finalement).
Je dois seulement réfléchir (est-ce que nous pouvons déjà seulement résoudre ensemble à 2 la seule question des couteau ?).

Très bien, solutionnons le problème des couteaux, à supposer qu'il y ait problème.

Ecoutez, j'étais en train d'envoyer le message suivant à l'instant (considérant une ouverture comme potentiellement bénéfique).
Je vous l'accorde, mais à la condition élémentaire, qu'on ne re-détruise pas systématiquement les acquis (à savoir: les actes sont réfléchis; à moins que vous ne reveniez là-dessus vous-même).

Donc dites-moi si c'est toujours Ok pour l'ouverture, et si celle-ci est en voie.
Si c'est le cas, voici ma question:
"Est-ce qu'on réfléchi devant le problème de choix "égal"(pour abréger)?"