Un désastre

http://www.lemonde.fr/education/article/2011/02/14/la-france-derniere-de-l-ocde-pour-l-encadrement-des-eleves_1480128_1473685.html#ens_id=1399873&xtor=RSS-3208

à cela, on voit bien que les politiciens ne raisonnent qu'à courte échéance, juste pour se fire ré-élire, mais pas dans le bien de la nation ni du peuple !!

Un pays se construit à longue écéhance, et avant tout, par l'éducation !!

Lila a écrit:à cela, on voit bien que les politiciens ne raisonnent qu'à courte échéance, juste pour se fire ré-élire, mais pas dans le bien de la nation ni du peuple !!

Un pays se construit à longue écéhance, et avant tout, par l'éducation !!

Ce pays se déconstruit.

oui, "en voie de sous développement" en commençant par abrutir la population.

Un mouton abruti est un meilleur consommateur.

http://www.lemonde.fr/societe/article/2011/02/15/47-titulaires-des-palmes-academiques-contre-les-suppressions-de-postes_1480267_3224.html

Je me demande qui va prendre en charge l'état
Je suis très inquiète...
Beaucoup postes vont devenir vacants.
Les boomers ne seront pas éternelle ...
Moi je fais parti de la génération x,du premier 5(ans) de rang
Nous avons été banni des écoles supérieures car la demande était comblé
Maintenant les boomers regrette et doivent se rabattre sur les plus jeunes
ils ne veulent pas travailler ,de nuit,de soir,de fin de semaine et ni prendre les postes de responsabilités
Voilà notre situation au canada ...une génération sacrifié qui aurait pu prendre la relève du systhème
La génération X serait la jeunesse sans identité, jeunesse issue de la Révolution tranquille qui a grandi dans la promesse d'un avenir meilleur. Cependant, arrivée à l'âge de travailler, cette génération a été confrontée à la crise de l'emploi des années 1980. Décrite par les médias comme une génération sacrifiée, largement apolitique, égocentrique, comment la jeunesse réagit-elle face à ces étiquettes qu'on lui accole? Comment exprime-t-elle ses valeurs? Esquisse d'une certaine jeunesse…

Thierry a écrit:http://www.lemonde.fr/societe/article/2011/02/15/47-titulaires-des-palmes-academiques-contre-les-suppressions-de-postes_1480267_3224.html

Et bien bravo !
Il y a quelque chose que je n'arrive pas vraiment à comprendre Thierry, mais c'est vrai que je suis absolument lamentable en logique mathématique !
Comment expliquer (je me fonde sur une courbe présentée à la télé il y a quelques jours) que le nombre des professeurs augmente, que le nombre d'élève diminue et qu'il y a de plus en plus d'élève par classe ?
En science de l'éducation j'ai appris que lorsque le nombre d'élèves (en particulier dans les classes primaires) est au delà de 25, l'éducation produit des "laisser pour compte". Ces informations sont-elles devenues obsolètes par un phénomène d'évolution accéléré du cerveau humain ?
J'ai appris également que les rythmes scolaires devaient se rapprocher de celui adopté par l'allemagne pour ne citer qu'elle, à savoir un apprentissage mieux étalé sur la semaine, sur l'année et une part au développement personnel qu'il soit sportif ou artistique. Ces informations sont-elles également devenues obsolètes ?

Thierry a écrit:http://www.lemonde.fr/societe/article/2011/02/15/47-titulaires-des-palmes-academiques-contre-les-suppressions-de-postes_1480267_3224.html

Ouahhh la salle de cours..

C'est beauuu !

Le problème est simple Bulle. Tout le monde, ou presque, s'en fout totalement. Il est par conséquent très facile de dire tout et n'importe quoi. Ce qui est obsolète, ça n'est pas la réalité de la situation, c'est l'intérêt d'une population adulte pour l'avenir d'une génération qui n'en a plus. En dehors d'un avenir de con-sommateurs effrénés.

Favoriser ou non les études de haut niveau dépend du marché de l'emploi. Les industriels dictent à l'Eta ce dont ils ont le plus besoin. Avoir trop de sur-diplômés n'est pas intéressant, alors qu'il manque cruellement de travailleurs manuels. Cela, je peux encore l'admettre.

Par contre, la diminution de la qualité de l'enseignement est inacceptable ! Surtout pour les petites classe, alors que se forme la personnalité des futurs adultes.

La société payera très cher cette grave lacune. Il n'y a que les parents pour pallier à cela, à la maison, mais s'ils sont eux-même abrutis de tv idiote et de pubs...

Une amie italienne m'écrit: les italiens ont un grand coeur, mais ils sont désormais cons en majorité: 20 ans de télévision de Berlusconi a endormi la capacité critique.
Tout est dit.

La télé a pourtant un bouton pour allumer/eteindre ...
Les parents font quoi ?

ils laissent allumé pour avoir la paix.

Pas tous, évidemment, mais une grande majorité.

Maintenant cela change parce que chacun est dans sa chambre avec internet, donc encore moins de contrôle (ce qui n'est peut-être pas nécessairement toujours un mal).

Il a fallu du temps pour que les observateurs de la réalité sociale, autant les
scientifiques que les intervenants, conviennent qu'«il se passait quelque chose»
chez les jeunes. Parmi les illustrations les plus frappantes de ces difficultés,
nous retrouvons les tentatives pour définir la relation des jeunes à l'emploi.
Trois types de discours résument les tergiversations à ce propos4. Les uns
s'interrogeaient, inquiets, sur l'interprétation à donner au chômage des jeunes
(Saint-Pierre, 1982). D'autres voyaient dans la hausse des taux de chômage
une situation conjoncturelle (Fortin, 1986).

Certains n'hésitaient pas à rendre
les jeunes responsables, par leur paresse ou leur manque de courage, de leur
situation de chômage5.

Les articles cités ici en référence ne constituent que quelques exemples du grand nombre de
travaux produits ou d'allusions à la situation des jeunes qui ont été faites au cours des années 80.
5. Le quotidien Le Soleil du 9 juin 1984 rapportait que « certains jeunes pouvaient se trouver au
chômage parce qu'ils étaient paresseux ». Propos qui venaient de haut parce qu'ils auraient été
tenus à la Chambre des communes par Jean-Luc PÉPIN, alors premier ministre suppléant.

Le chômage
n'a commencé à occuper une place importante dans les représentations qu'au
moment où il atteignait ses plus hauts sommets en 1982 et 1983 et, en particulier,
lorsqu'il frappait les groupes les plus scolarisés. Les taux étaient
pourtant déjà élevés dans d'autres catégories sociales, chez les jeunes ouvriers,
en particulier, et n'avaient cessé d'augmenter tout au cours des années 70.
Les crises du pétrole, la récession, les problèmes constitutionnels retenaient
bien davantage l'attention.
La représentation que l'on se faisait alors des problèmes de la jeunesse
est passée de celle de «jeunesse paresseuse» à celle de «victime» qui dure
encore aujourd'hui. Le plus étonnant, c'est que ces deux représentations,
pourtant opposées, n'ont pas donné lieu à des solutions plus originales l'une
que l'autre. Les deux comportaient une part de vérité et une part d'erreur qui
constituaient un piège. Affirmer que la jeunesse était paresseuse, qu'elle
n'avait pas plus de difficultés à entrer sur le marché du travail que la cohorte
antérieure, c'était immédiatement se voir contredire par les statistiques. Dire
qu'elle était victime, c'était se voir proposer de multiples objections dont faisait
partie le numéro spécial de la revue L'actualité de septembre 1986 : «Les
Québécois qui montent, La deuxième révolution tranquille», où l'on présentait
à pleines pages ces jeunes têtes qui cumulaient le succès dans tous les secteurs
de la vie active.
La «victimisation» de la jeunesse a elle-même donné lieu à des attitudes
différentes selon que la victime était une «bonne» victime, c'est-à-dire celle qui
mérite l'aide parce qu'elle se sent responsable de son sort, ou selon qu'elle
était «mauvaise», celle qui attend simplement qu'on l'aide, cette dernière
n'attirant aucune sympathie. Imprégnés de cette représentation, des jeunes
6.

Moi promo 1983 ,nous avons du, indignement vivre de l'aide sociale 150 dollars par mois
Et pire faire la grève pour avoir un peut plus car nous étions tous chambreurs,incapable de se payer un logement
Endurer des propos désobligeants,dans les journaux et à la radio ,je suis encore stigmatisé de mon passé ,jamais je n'oublirai ce que les boomers nous on fait !
Aujourd'hui ils récoltent ce qu'ils ont semé ...
j'attendais avec une certaine jouissance ce moment ,j'ai du travaillé comme trou cul et remplacer les boomer malades ,après la porte !
aucune condition salarial ,aucun avantage sociaux ,aucune assurance médicale...
Les boomers nous traitaient comme de la merde et nous on survivaient tant bien que mal ...
Pandore

Saviez-vous qu'à cette époque lorsque que vous étiez au secondaire un orienteur nous fesait passer des test pour nous dire dans quoi se diriger:une fois les test passé,il nous donnait nos les résultats et là ,tu devrait aller dans tel métier mais malheureusement tu n'est pas chanceux il ni a plas de cours cette année d'ouvert dans ça vu que ses déjà trop comblé...
Misère ,après entre nous on se parlait de cette orienteur et l'on c'est apperçu qu'il avait dit la même chose à tous ,en variant avec les mots ou bien en jouant sur nos résultats scolaire ..tu n'est pas assez fort!(était une autre réponse :classe fermé du au contingent).
Nous étions éliminé et découragé !
Pire encore :
Les boomer nous avaient donné une mauvaise éducation ,la première génération moins éduqué que les boomers ! misère
naturellement quelques promoteurs du collège son venus à la fin de l'année scolaire, combien croyez-vous ?
3 seulement ,musique ,arts cinéma-théatre,guide touristique-kiosque,misère !

Je lis deux articles ce matin, il m'arrive d'être sérieux...
L' un est "La dictature de l'urgence" de Gilles Finchelstein
G.F. décrypte la dictature de l'urgence, ce nouveau rapport "au temps" ou le culte du "présent" érige le court terme en valeur absolue dans tout les domaines de la société.
Pour sortir de cette course effrénée G.F. propose de retrouver le temps de la reflexion et de la concertation.
(autant parler de l'impermanence et de la présence )

Un autre article concernant l'enseignement en Argentine

En Argentine, l’enseignement est décentralisé. Dans la décade néo-libérale des années 90, l’État National s’est défait de toutes ses écoles de tous niveaux. Elles sont passées sous la responsabilité des États Provinciaux ou des villes où elles étaient établies.

Aujourd’hui, on a un Ministère National de l’Éducation, mais sans écoles. La Loi Nationale de l’Éducation, issue de cette même décade, donne l’autonomie institutionnelle aux établissements scolaires. Cette organisation provoque des différences, parfois importantes, entre les contenus et les compétences développés dans des écoles même géographiquement proches et dans la même juridiction.

Situation des professeurs de Mathématiques
Les professeurs de Maths cherchent toujours à se perfectionner, à découvrir de nouvelles bibliographies, à suivre des cours de formation continue, mais ils rencontrent des difficultés considérables : pour gagner sa vie, un professeur doit travailler dans trois institutions (ou davantage), pas nécessairement géographiquement proches, avec une charge horaire de 30 à 40 heures par semaine! L'indispensable temps de concertation des enseignants n'est pas rémunéré par les institutions. Il n'y a pas de conseillers pédagogiques pour aider les enseignants, rien qui ressemble à un IPR de mathématiques. Ajoutons à cette situation le contexte général de tout le pays, caractérisé par des parents sans emploi (au chômage), des familles pauvres ou en-dessous de la limite de pauvreté, des mineurs délinquants, des personnes dépendantes ou en situation d’abandon, ... La tâche enseignante dans les écoles ou les collèges publics est très difficile. Malgré ces conditions, les profs font en général d’énormes efforts pour réaliser un bon travail, parfois même en utilisant leurs propres ressources pour satisfaire les nécessités élémentaires de leurs élèves...

On ne peut pas espérer une bonne éducation dans ce contexte, on ne peut pas exiger grand'chose des élèves dans cette situation. Les niveaux d’enseignement sont de plus en plus bas.
Mais il y a des exceptions : le Collège National de Buenos Aires qui dépend de l’Université de Buenos Aires est gratuit, public et c’est un des meilleurs lycées de l’Argentine!

En général, aujourd’hui en Argentine, les familles qui le peuvent préfèrent payer un enseignement privé à leurs enfants.
http://www.sesamath.net/blog/index.php/2009/01/31/l-enseignement-des-maths-en-argentine

Thierry, on casse tout ! Regarde la démolition systématique de tous les services publics ... Mais il est certain que la destruction de
l' Education Nationale est celle qui aura les conséquences les plus graves . Mais " qu' est-ce- qu' ils en ont à fiche " ? Du pognon, qu' on veut ! Le reste,bah !
La France est entre les mains d' une caste . Nous n' avons rien à envier à l' Italie !
Regardez " les Feux de l' amour", " Plus belle la vie " ou " Scènes de ménage " ! Ca vous nourrira l' esprit ...

Savez- vous qu'ici ,le gouvernement à lançer un appel aux Boomers de rester encore aux postes,
car ils ne peuvent tout simplement pas les remplacer..
Normalement nous notre génération x ,aurions dû prendre le relais mi-quarantaine mais dommage ...nous n'avons pas la formation !
La crise n'est pas encore survenus mais elle approche ,alors le gourvernement à même rappelé les boomers à la retraite et oui ,les boomers devront mourir au travaille !
Ils devront être des patriotes volontaires car personne n'a les qualifications.
À mon époque il on contingenté les classes ,ils N'ouvraient aucunes classes en gros ce qui était offert par (travailleur social)à mon école(-musique -théatre,cinéma-caméra-guide et kiosque-touristique)imaginé l'école était rempli d'élève ,le taux d'abscentéisme en bas du 1%,avec les conditions de l'époque le travail était saturé par les boomers qui eux étaient en plein dans le début de la 35- 45. aux lieux de nous rendre accèssible l'école ,ils nous ont jeté à la rue,sur l'aide social avec l'étiquette d'enfants pareusseux et autres..ensuite ils nous ont offert de l'aide sociale et du travail bénévole à 35 heures par semaines et obligatoire, pour un maigre salaire de 100$ par mois de plus sur notre chèque,nous reçevions 150 mois ,le total montait à 250$ par mois...beaucoup on travaillé sans conditions dans leurs emploies et en fesant 3-4-5 travail en même temps ,dans différent secteurs et en dillant avec plusieurs employeurs et différent quart de travaille.
Ils savaient tous que nous n'aurions pas d'emploie mais jamais personnes n'en a parlé.
Pire les boomers on reçu une bonne éducation ,gratuitement ou presque et sans endettement ,mais à mon époque le taux d'endettement était important 3 ans de cégep pouvait représenté 22 200 $(bourse 1500$ mais les prêts environ 6000$) à du taux d'intérêt entre du 16 à 28 % imaginé.
J'ai ami est un pianiste ,il vie avec moi ,il fini de payé son prêt étudiant à l'âge de 45 ans (imaginé) après ses études à l'universté ,il a passé 3 ans sans salaire ,imaginé refusant l'aide social ,et cherchant du travail qui n'existait tout simplement pas !
Nous avons appris la simplicité volontaire ou volairement forcé ou involontairement apprise!
Le gouvernement (des épais latent-patent-exogène)auraient dû alors ouvrir les classes gratuitement et permettre à la génération x d'étudier...aujourd'hui les jeunes sont 50% à avoir abandonné l'école imaginé au secondaire 1 seulement ...ils n'ont pas su rendre passionnante un des plus beaux moment de la vie et suscité l'intérêt des jeunes ,savez-vous pourquoi ?
Ses boomers avec leurs belle théorie de réforme ,de médicament,de contrôle des classes,de peudopsychologue scolaire ,de cours de sexualité au primaire ,et de prévention de drogue et avec comme emphase mon comportement avec mes amies et autres intervenants de l'école qui notaient l'élève au bulletin ...ils en ont eus marre ses enfants et je l'ai comprends ..
Lorsque vos professeurs sont habillé avec des j string ,l'anneau dans Le nez et la lèvre perçé,les cheveux bleu,blanc et rouge ,maquiller comme pour sortir ,les seins braqué et le cul jacker et la carotte d'l cul ,et sont de votre âge pratiquement début 24-25- ans,ils sont trop jeune pour instauré le respect ...
la génération x auraient suscité un certain respect mais dommage ,elle a été sacrifié car elle était paresseusse !
Ils vont s'en mordre les doigts d'avoir perdu des années à dire que c'était les conditions dans lequel ils vivaient qui avait créé les décrochages scolaire ...Hen foutaise ! moi ma fille avait l'avenir sa bourse ...mais elle qui était une nerds décroche au sec.1 j'ai dû me battre et m'obstiner avec elle ,ne fais pas ça ! tu va le regretter ! j'aurais tant voulu que tu trouve ton centre d'intérêt ! non rien à faire ...pire le peudopsy de l'école m'appèle pour me dire : vous savez ,madame ,qu'est-ce que ca fais si votre fille ne fait pas d'étude ? bien j'aimerais mieux quelle continue ,elle est en secondaire un là wow!
Oui mais vous voulez qu'elle réalise votre rêve d'allez à l'école ...quoi! insulté...
Il ajoute : vous êtes monoparentale en ? je répond :quoi ! insulté...
Non messieur...ma fille vie avec son père et sa mère
Il ajoute : vous n'avez pas terminé votre secondaire vous en! je répond :quoi!...oui 5 et j'ai mon diplôme vous saurez!
Et mon conjoint à été à l'université ...voulez-vous rire de moi !
Il m'ajoute :moi j'aime bien les jeunes et je les comprends de ne pas vouloir allez à l'école !
Quoi ! insulté j'ai appelé la direction et dit que leur psy était un débile profond...
Un psy plus jeune que moi ,des professeurs(res) plus jeune que moi...nous insultaient en nous disant que nous Étions responsable du décrochage scolaire de nos enfants ...insulte royale ,puisque je me suis impliqué aupràes de mon enfant ,elle était épanouie et heureuse et avait toujours le sourire ...au primaire
Au secondaire son sourire à disparu ,le look primait ,l'argent primait ,la thecnologie primait...mais pas les études ! Ho nenon!
Le systhème est pourri et les responsables sont les enseignants ,ils ont caché délibéréments et le plus longtemps possible la situation à la population et au ministère !
Des étiquettes sur nos enfants ,ses enfants décrocheurs sont issus de mileu pauvres ruralle,drogué ,alcoolique ,de parents sur le bien être social et etc...
Après nous avoir insulté nous la génération x ,fermé les portes scolaire aux études supérieures,nous avoir poussé aux bien social et aux travailles forcés sous payés ...ils en ont rajouté une couche !
Ce que je pense de mon gouvernement : Qu'il crève !
Ce que je pense des enseignants :vous avez été stupide et paresseux !(conditions salariales:mais peu de temps avec les élèves en dehors des cours) c'est votre faute ...le décrochage ! et j'ajoute vous avez gâché notre vie famillial et nos enfants !
ce que je pense des boomers ,vous avez cons et n'avez pas eu de respect pour vos parents ,ni vos enfants !
Maintenant travaillé et ce jusqu'à votre mort ! pas de retraite pour vous !
Demandez-vous si la génération x vous aimes ? HO que NON....
Le systhème tombera et votre suprématie aussi tôt ou tard !
Ensuite la génération x a telle pu dire un mots dans cette réforme scolaire ,gouvernemental et a telle pu s'impliquer ? NON ....
Nous n'avons encore rien dit ou rien fait ...enduré l'enfer que vous avez créé...TOO bad for YOU!

c'est quoi, les "boomers" ?

"baby-boomers", je crois : enfants de l'explosion démographique (1945-1960)

c'est ce à quoi je pensais aussi, mais je voulais être sûre

La politesse ,les professeurs non pas su l'instaurer fort malheureusement ..
Habillement incorrecte (costume)
et arrêt du messieur le professeur ou madame
Qui à été remplacé par tu ,jacques ou monique ...
Ils viennent se plaindre que nos enfants n'ont pas de politesse..à cause de qui ou quoi vous croyez?
Eux ,qui voulaient jouer à être copains copains !

N'oublions pas la fameuse protection dela jeunesse enseigné à nos enfants à partir du primaire qui à cindé en deux toute autorité parental...les jeunes menaçaient leurs parents ...
L'enseignement du sexe au primaire ,à éveillé chez nos enfants une sexualité plus précoces et les enseignants on vu des couples se former à partir de la quatrième vivre des drâmes dans les ruptures d'amours ,en sixième année apprendre à comment mettre un condom sur un phallus en bois ou une banane ,m'avais particulièrement offensé!
Ma fille ne parlait plus que de drogue ,la police de concert avec l'école enseignait comment la fabrication de drogue était faite ! cibole de bâtard ...j'en avais royalement marre de leurs conneries ...
Vive les écoles et leurs réformes
Donc nos jeunes voulaient faire leurs familles à 13-14 ans et avoir des enfants ,de l'argent ,être à la mode,se maquiller,se droguer et boire !
Leurs fameuse prévention les ont incités à vouloir tout essayer et il l'on fait !...
Nous étions outré et offensé du ministère de l'éducation et de leur réforme à la noix !
Qui était derrière ce massacre d'enfants ....pas moi !

Lila a écrit:ils laissent allumé pour avoir la paix.

Mais un bon bouquin, ou pour les enfants qui ont besoin d'images, une bonne BD (elles amènent quasi immanquablement, à plus ou moins longue échéance à la lecture classique) font exactement le même effet !

Bulle a écrit:

Lila a écrit:ils laissent allumé pour avoir la paix.

Mais un bon bouquin, ou pour les enfants qui ont besoin d'images, une bonne BD (elles amènent quasi immanquablement, à plus ou moins longue échéance à la lecture classique) font exactement le même effet !

tu prêches une convaincue, Bulle. Mais pour cela, il faut déjà que les parents montrent l'exemple, ce qui est loin d'être une généralité.

Bulle a écrit:La télé a pourtant un bouton pour allumer/eteindre ...
Les parents font quoi ?

J'ai fait une enquête anonyme aujourd'hui sur ce que les enfants regardent...C'est consternant...TOUTES les émissions de télé réalité, des titres que je ne connais pas du tout, je ne savais même pas que ça existait, par exemple des gens qui en invitent d'autres chez eux pour faire un repas et il est noté par les invités sur la bouffe, l'ambiance, le décor...La télé est allumée en permanence et même pendant les devoirs pour certains...Le matin en se levant, le soir pour certains, les "experts", "ncis"", des trucs dans le genre, le dimanche soir...Enfin, bon, un désastre quoi. Et puis il y en deux qui n'ont pas la télé et dont la bibliothèque est pleine comme un oeuf et qui font des jeux de société en famille. Je devrais bosser pour ces deux là...

Pour pandore, TOUS mes élèves m'appellent "Maître" et me disent "bonjour Maître" quand ils me croisent au marché. Quand ils sont plus grands, ils m'appellent Monsieur Ledru. Jamais par mon prénom. Pour ce qui est des thèmes qui n'ont rien à voir avec leur âge, je suis entièrement d'accord. Il y a tellement de choses essentielles à voir à côté de la misère d'adultes...On a fait un débat philo sur les émotions, la raison et la conscience. Là, au moins, ça a du sens. Et c'est très facile de trouver des situations dans lesquelles ils sont concernés.