Nos aphorismes

Tu trouves Ta joie en celui qui écoute Ta voix.

A chaque parole son île.

Cette pratique qu'est la prière pour obtenir une faveur de la part de Dieu peut servir à faire d'abord le point sur ses besoins, en ce sens de bien évaluer s'ils sont réels.

L'amour est la seule voie, toutes les autres mènent à la folie.

Mais la folie, parfois, mène à l'amour.

Oui...c'est fou !

Les événements ne nous enchaînent que par l'histoire dans laquelle nous les inscrivons.

On écoute que si on a le désir d’entendre.

Non, c'est à soi-même qu'on doit le dire.

Si (C’) est (Ça) qui est (Ça)
Alors (C’) est vraiment la vérité,
Peu importe que (Ça) soit vrai
Ou que (Ça) ne le soit pas.
C’est la vérité sur tout Ça.

Si on n’est pas ce qu’on a… alors la prétention incarnée l’est sans prétention.

Le non agir est positivement l’action qui découle de cette résolution consistant à s’abstenir de boire du sang.

Quand on sait qu'il existe, Dieu devient normalité.

L’exactitude n’est qu’une des modalités de la vérité, l’autre exige parfois qu’on la sacrifie.

La matière est Esprit.

Esotérisme…

Certaines choses ne peuvent se dire qu’à demi-mots ; la vérité ne pourra alors éclater que par la découverte de l’autre moitié.

La véritable mesure du monde ne peut être appréhendée par le mental dont la fonction est de le réduire à sa propre mesure.

La violence vient d'un manque d'imagination.

Esotérisme II...

Certains textes ont pour seul résumé l’expérience.

On ne peut connaître Dieu par la compréhension *.Toute manifestation de Dieu est surprenante et échappe à notre raison.

*(Du latin comprehendere , dérivé de prehendere (« saisir »), avec le préfixe cum- (« avec »).)

Le mystique sait tout en sachant qu'il sait ce que l'enfant sait sans savoir qu'il sait

La langue française est parfois consternante dans l’expression de certains termes… par exemple, dire qu’on l’aime beaucoup à une personne, lui signifiant ainsi qu’on l’aime moins que si on lui disait qu’on l’aimait tout court… le beaucoup étant de trop.

On déforme souvent un propos parce qu'on n'a pas trouvé d'autres solutions pour pouvoir le contredire.

Par exemple,
« Hoc est porcus »
au lieu de
« Hoc est corpus ».