L’analyse des larmes ...

L’analyse des larmes au microscope révèle un fait étonnant.

La photographe américaine Rose-Lynn Fisher a étudié au microscope ses larmes de joie, de tristesse, de deuil, ou encore de rire. Elle a découvert qu’elles ont chacune une topologie différente, et a réuni les différentes photos dans un livre.Tristesse, déception, joie, compassion…elles peuvent être provoquées par un très large panel d’émotions. Et si elles semblent toutes identiques, formées des mêmes composants (chlorure de sodium, enzymes, ou encore lipides), la photographe américaine Rose-Lynn Fisher les a examinées au microscope et a démontré que leur topographie diffère en réalité selon la raison qui les a fait couler.[...]

Suite ici avec photos prises au microscope

"Il existe tellement de variables, comme la chimie, la viscosité, le réglage, le taux d’évaporation et les paramètres du microscope..." précise (bien heureusement) l'auteur...
En tous les cas c'est :
- un beau résultat esthétique,
- un constat intéressant...

sans compter la variabilité affective du larmoyant, qui n'est pas proportionnelle à la douleur ressentie. J'ai le deuil humain aride alors que la mort de mes chiens me laisse intarissable ( va comprendre, Charles!) .

Tu préfères peut-être les animaux aux humains, vas savoir...

je ne crois pas que le chagrin se mesure au volume lacrymal chez moi . On est plutôt intello ou sentimental: il me semble que le cerveau et le cœur ont souvent du mal à s'équilibrer . Il suffit du cœur pour aimer son chien. L'intelligence, c'est nécessaire pour aimer un humain .

Parce que tu crois que les affects et les sentiments se trouvent dans le coeur ?

c'est le terme générique, pas physiologique

J'ai l'impression que l'auteur de l'article lit dans les larmes comme dans le marc de café ... est-ce vraiment bien sérieux ?

Bean a écrit:J'ai l'impression que l'auteur de l'article lit dans les larmes comme dans le marc de café ... est-ce vraiment bien sérieux ?

je pense comme toi Bean, et elle a oublié la larme "l'alarme" à la demande comme c'est si bien le faire ma fille.

Diagnostiquer Parkinson grâce à l'analyse des larmes.

Une approche inédite propose un diagnostic de la maladie de Parkinson par l’analyse des larmes et la recherche d’une protéine, l’alpha-synucléine.

Voir ici

Personnellement j'aurais utilisé un spectromètre de masse  au lieu de la microscopie.