L'infini est confiné !

Y aura-t-il un con in fine qui seul pourra nous donner une idée de l'infini?

Il y a toujours un premier mais souhaitons lui de ne pas rester seul.

C'est quand même celui qui doit être exécuté !

Golem a dit :

Si l'absolu n'existe pas alors la position précise des atomes n'existe pas, elle est indéfinie, et ses variations sont alors infinies.

L'infini ne peut pas ne pas exister dans la matière.

La vitesse de l'univers par rapport au photon n'est pas mesurable parce que l'on ne peut pas mesurer l'univers !

La non possibilité de quantifier le tout de façon numérique car on ne peut que le considérer aussi grand que lui même constitue le concept d'indéfini non nul qu'est l'infini.

Le fameux infini dont tu nous parle avec tant de ferveur ne serait-t-il pas qu'un raccourci pour expliquer ce que l'on ne connait pas encore. Et d'ailleurs dans ce cas, je ne pourrai qu'être d'accord avec toi. Ce que je veux dire c'est dès qu'il y a un infini quelque part, il est naturel de s'en méfié. Ce n'est que trop souvent l'indice d'une faille dans une théorie. Est-ce que je me trompe ? Est-ce que ici ce n'est pas le cas et pourquoi ?

Peut-tu nous donner tes sources et autres travaux... ?

Si la matière est finie en acte elle est infinie en puissance.
La source est Aristote.

Cette vision du monde à été constatée et mesurée puis mise en équation par le principe d'incertitude d'Heisenberg.

En gros, on ne peut pas préciser à la fois la vitesse et la position d'une particule.

Si l'on veut mesurer avec une précision absolue la position d'une particule, comme si le monde physique était continu et que l'infiniment petit matériel existait (c'est à dire s'il est mesurable par l'imprimeur), alors la particule disparaît, car sa vitesse devient totalement inconnaissable, comme la couleur du slip de Dieu. Cela montre que la matière continue n'existe pas (donc l'infiniment petit matériel non plus), la matière disparaît avant de devenir continue.

Je ne suis pas particulièrement mystique ni fervent, pas besoin d'être dans les secrets des Dieux pour savoir que google sait des choses sur l'infini.

Si la particule est quantique, une fonction d'onde permet de connaitre toutes les informations sur la particule. La quantité d'informations connaissables à travers cette fonction d'onde est infini.

Ceci est l'infini factuel de la théorie.
Ce n'est pas un infini matériel, mais c'est une quantité infinie d'information, la puissance infinie aristotélicienne exposée à la lumière.


D'ailleurs, google est il fini ou infini, à votre avis ?

Combien d'informations peut-on tirer d'une page wiki qui parle des bonnets en poils de lama des cultures andines ?
Dites un chiffre.

Si l'on peut écrire une infinité de livre sur les bonnets en poils de lama alors l'infini existe.

Même si l'on n'a pas encore écrit une quantité de livres infinie, la quantité d'information infinie qui serait contenue dans ses livres existe déjà, car même si l'information n'est pas manifestée, elle existe à partir du moment où elle est codifiée.

Dans la phrase: "L'infini existe.", ce qui est difficile à comprendre ce n'est pas l'infini, c'est l'existe.

Qu'est ce que l'existe ?

L'infini existe en mathématique.

Ceux qui pensent que l'infini ne peut pas faire partie de l'univers doivent penser que l'univers, pour pouvoir ne pas contenir l'infini, est plus petit que les mathématiques.


Comme disait le septième sage dont la venue fut annoncée par la prétresse du Dieu serpent (Pithagore), il existe un ordre des choses.

Les mathématiques, voyez vous, ne sont qu'une petite partie de l'univers.
Méditons là dessus et laissons infuser la solution.

Heidegger, dans Être et temps, a montré que ce n’est pas le monde qui est dans l’espace mais l’espace qui est dans le monde.

Donc, ce silence éternel des espaces infinis qui effrai Pascal fait partit du monde.

Ce n'est pas parce qu'on n'entend pas le silence qu'il n'existe pas.



Heidegger nomme In-der-Welt-Sein, l’être au monde, la présence au monde, qui constitue la dimension fondamentale de toute existence humaine en tant qu’elle est par essence un Mitsein, un être avec les autres.

La nature de l'existense est la transcendance, ce qui existe forme un tout qui se surpasse sans cesse.

L'infini est codé dans les lois de l'existence.

La transpossibilité est plus que la simple possibilité, elle est ouverture à l’impossible, c’est-à-dire à ce qui transcende les possibles préalables qui sont donnés à partir du projet, notion heideggérienne reprise de façon critique par Henry Maldiney.

«Ce qui s’ouvre au projetant dans le projet en acte, c’est la dimension même du possible. L’ouvreur du projet, s’arrachant à sa condition de simple étant, existe en jet dans son projet de monde à dessein de soi »

D'accord, au début ça pique un peu les yeux quand on lit du Maldiney, surtout qu'il faut se tapper Heidegger en allemand au préallable pour pouvoir critiquer les critiques heideggérienne de Maldiney, mais si vous ne savez pas ce qu'est l'existence et si vous cela vous interesse, apprenez le langage de Maldiney.

ce qui ex-iste, c'est la particule arrêtée par l'observateur: au sens propre du terme , on l'extrait de son onde mobile pour l'épingler sous l'oeil entomologiste du chercheur . L'ex-istence humaine est sans doute, ainsi, un temps d'arrêt devenu quantifiable, dans un infini de l'être . Enfin, dans ma tête c'est comme ça ...

Golem a écrit:Ceux qui pensent que l'infini ne peut pas faire partie de l'univers doivent penser que l'univers, pour pouvoir ne pas contenir l'infini, est plus petit que les mathématiques.

L'espace est le lieu de manifestation (déploiement) de tout existant... L'infini est sa dimension...

Heidegger, dans Être et temps, a montré que ce n’est pas le monde qui est dans l’espace mais l’espace qui est dans le monde.

Là où l'espace n'est pas différent mais ne fait plus qu'un... En d'autres mots, l'infini de l'esprit trouve sa manifestation dans le réel spatial... Tout se déploie dans l'infini, à l'infini...

Ce n'est pas parce qu'on n'entend pas le silence qu'il n'existe pas.

Le silence est la toile de fond sans laquelle rien ne serait audible. Mais le silence n'est-il pas sous-entendu voire audible dans la question «Que fait le son d'une main qui applaudit?»

La transpossibilité est plus que la simple possibilité, elle est ouverture à l’impossible

Encore faut-il que le mot colle à la réalité...

La transpossibilité est plus que la simple possibilité, elle est ouverture à l’impossible, c’est-à-dire à ce qui transcende les possibles préalables qui sont donnés à partir du projet: le nombre de possibles aujourd'hui est inférieur au nombre de possible de demain.

Des choses impossibles deviennent possible tous les jours.

Golem a écrit:La transpossibilité est plus que la simple possibilité, elle est ouverture à l’impossible, c’est-à-dire à ce qui transcende les possibles préalables qui sont donnés à partir du projet: le nombre de possibles aujourd'hui est inférieur au nombre de possible de demain.

Des choses impossibles deviennent possible tous les jours.

Alors dans ton paradigme, combien y a-t-il d'impossibles?

La quantité de choses impossibles à faire aujourd'hui est infinie.

Entre aujourd'hui et demain, une infinité de choses impossibles deviendront possibles (par exemple quand la couleur à été inventé au cinéma, on a commencé à pouvoir faire une infinité de film en couleur).

Le possible est la puissance, la puissance infinie est connue, seul l'infini en acte est mis en doute.

Une infinité de choses impossibles à faire ont donc disparut quand on a inventé la couleur au cinéma, et après, il resta toujours une quantité infinie de choses impossible à faire.


Donc la quantité de choses impossibles et la quantité de choses possibles sont infinies mais l'infini des impossibles est supérieur à l'infini des possibles.

De la même façon que la cardinal de l'ensemble des réels est un infini plus grand que le cardinal infini de l'ensemble des entiers (Kantor).



Les entiers, qui sont en nombre infinis et ayant une répartition discrète (non continue), représentent la matière.
Les réels, qui sont en nombre infinis et ayant une répartition continue, représente un ensemble qui est au delà de la matière et qui contient la matière.


La matière fait partie de l'immatériel comme les entiers font partie des réels.


Un entier est un réel.
La matière est une illusion.

C'est seulement une petite partie de la réalité qui est matérielle, cette partie est infinie.

Comme les entiers dans les réels.

L'espace est une grandeur physique et mesurable.

Tout ce qui reléve de la métaphysique se dépoie en dehors de l'espace.

L'espace est dans ce qui existe. Ce qui existe forme le tout et inclu en lui l'espace physique et le non espace métaphysique.

C'est l'espace qui se déploi dans l'existance, pas le contraire.






Tout ce qui est spacial (qui est doté d'une dimension physique, les particules ponctuelles n'en font pas partie) se déploie dans l'espace.
Les photons (s'ils ont une masse nulle au repos) naviguent en hyper-espace, c'est á dire en dehors de l'espace.


On ne peut que calculer que le photon a une masse nulle (ce qui lui interdit d'avoir une dimension spaciale, mesurable par l'imprimeur) on ne peut pas le mesurer.

On peut mesurer que le photon est tres leger mais on ne peut pas mesurer le zéro (scientifiquement), celui ci est plus petit que l'infinment petit qui n'est déja pas mesurable.


L'infinment petit reste matériel mais il est en dehors de l'espace, n'étant pas mesurable et n'ayant pas de dimension spatiale.

Voici la matière noire.




La métaphysique est le non spacial non matériel.

L'énergie est mesurable, elle se déploi dans l'espace et est non matérielle.

Ce n'est pas parce qu'on ne peut rien mesurer de plus petit que la longueur de Planck que rien ne peut exister de matériel qui soit plus petit.

Supposons qu'il existe des grains de matiére de dimension infintésimale.
Ils sont indétectables, si on les rajoute dans un pot de peinture cela ne change pas la couleur (donc la matiére noire a des points commun avec une vache, ça donne quand même une idée de l'infini, non ?).

Maintenant supposons qu'il existe un groupe holistique (dont l'ensemble détectable est plus que la réunion de parties indétectables) de particules de matière de dimension infinitésimale.
Pour que cette supposition se réalise, il suffit que le rapport du nombre de particules sur la dimension des particules soit équivalent au cardinal des réels sur le cardinal des entiers.

Donc on peut diviser l'infini par l'infini et trouver un résultat déterminé (un commentaire, quelqu'un ?)


Ce qui produit la gravité est la matière et seulement la matière.

La matière noire est un ensemble de particules matérielles de masse non mesurable dont la masse de l'ensemble est mesurable.

La mesure n'est jamais absolue.

Les quantas d'energie noire sont non mesurables.
Le champ d'énergie noire est mesurable.

La réalité est holistique.

Golem a écrit:
On ne peut que calculer que le photon a une masse nulle (ce qui lui interdit d'avoir une dimension spaciale, mesurable par l'imprimeur) on ne peut pas le mesurer.

On peut mesurer que le photon est tres leger mais on ne peut pas mesurer le zéro (scientifiquement), celui ci est plus petit que l'infinment petit qui n'est déja pas mesurable.

La masse au repos du photon est de moins de 7x10^-17 eV d'après les mesures réalisées, en comparaison, la masse hypothétique du neutrino est de l'ordre de 2,5 eV
Sa dimension spatiale est sans rapport avec sa masse théorique nulle mais ne peut-être assimilée à un point ou à une bille car le photon est non localisable en dehors de toute interaction.

Golem a écrit:L'espace est une grandeur physique et mesurable.

Tu supposes l'univers en expansion et l'espace qui s'expanse? Moi je crois plutôt que tout naît (si quelque chose naît) de l'infini, mieux peut-être que tout manifeste l'infini... Il n'y a pas d'au-delà puisque l'infini, par définition, ne peut-être que tout inclusif (ouvert)...

Tout ce qui reléve de la métaphysique se dépoie en dehors de l'espace.

L'infini est le lieu de déploiement, de manifestation de tout ce qui est... Je pense à Linde et à la bulle-univers qui s'est formée à même la fractale en continuel déploiement dans l'infini, à l'image de l'arbre qui donne son fruit... A-t-on même la moindre idée de l'infini?

C'est l'espace qui se déploie dans l'existence, pas le contraire.

Qu'est-ce qui trace les contours? Dans quelle proportion le corps est-il habité d'espace? Et pour le reste, quel est le substrat dit matériel? Quelle est la fine immatière de tout réel?

La science ne cherche pas la matière pure et dure puisqu'elle n'existe pas... Tout ce qui est est-il une configuration de l'infini? Comment nommer le lieu de toute manifestation, incluant toutes les dimensions?

Tout ce qui est spacial (qui est doté d'une dimension physique, les particules ponctuelles n'en font pas partie) se déploie dans l'espace.
Les photons (s'ils ont une masse nulle au repos) naviguent en hyper-espace, c'est á dire en dehors de l'espace.

Question de définition? Mais rien n'empêche que cela se déroule dans l'infini puisqu'il n'y a rien au-delà. Question toujours de définition...

Quand enfin on se rendra à l'évidence qu'il n'y a pas de début de la réalité, posera-t-on qu'il n'y a qu'esprit? En tant qu'unique réalité-cela-seul-qui-puisse-être?

L'infiniment petit reste matériel mais il est en dehors de l'espace, n'étant pas mesurable et n'ayant pas de dimension spatiale.

Aussi loin que tu puisses aller dans l'infiniment petit, tu n'atteindras pas le zéro, puisque peu importe, tu seras toujours face à l'infini... L'infiniment grand, linéaire, circulaire, tous azimuts, te mène lui aussi à toujours-plus, à l'à-perte-de-vue, sans fin... Il n'y a pas de mur là-bas, sinon il serait aussi ici, et donc tu ne pourrais pas mettre un pied devant l'autre... Mais tout cela semble disparaître dans l'infini... Qu'est-ce à dire?

Voici la matière noire

Comme il y eut la grise...

Notre univers est un grain de matière aux dimensions infintésimales dans un univers au dimensions infinies.

Nous sommes indétectables.

Le temps de l'univers supérieur est étiré à l'infini pour nous, comme immobile.
Le champ de gravité de l'univers supérieur est la constante gravitationnelle de notre univers.

Le rapport entre la dimension de notre infini et la dimension de l'infintésimal du niveau suivant constitue le rapport d'ouverture ou de fermeture de notre espace.


Il parait (d'après des sources que je prefère ne pas citer mais que google connait) qu'il y a neuf mondes gigognes.
L'extérieur du premier est l'intérieur du second et ainsi de suite jusqu'a l'extérieur du dernier qui est l'intérieur du plus premier.

zizanie a écrit:

Golem a écrit:
On ne peut que calculer que le photon a une masse nulle (ce qui lui interdit d'avoir une dimension spaciale, mesurable par l'imprimeur) on ne peut pas le mesurer.

On peut mesurer que le photon est tres leger mais on ne peut pas mesurer le zéro (scientifiquement), celui ci est plus petit que l'infinment petit qui n'est déja pas mesurable.

La masse au repos du photon est de moins de 7x10^-17 eV d'après les mesures réalisées, en comparaison, la masse hypothétique du neutrino est de l'ordre de 2,5 eV
Sa dimension spatiale est sans rapport avec sa masse théorique nulle mais ne peut-être assimilée à un point ou à une bille car le photon est non localisable en dehors de toute interaction.

oui on est même arrivé à une limite supérieure 3x10^-27 eV pour la masse du photon
au final ne pouvant "expérimenter " la masse nulle du photon on a une limite supérieure très faible ce qui ne veut pas dire que la masse ne soit pas nulle. nuance qui évitera un beau bazar.

troubaadour a écrit:Quel infini ?
Infini est un adjectif.

C’est effectivement la bonne question.
Il y a l’adjectif et le nom ; l’Infini, et ce n’est pas du tout la même chose. Majuscule pour ne pas les confondre.

Le Fini est contenu dans l’Infini qui lui-même l’est dans un plus « grand » (les guillemets sont de rigueur) que lui ; l’Absolu.
Ce ne sont pas des dimensions dimensionnelles, même le Fini est infini est c’est là qu’infini est adjectif.

L’Absolu se rapporte à la Lumière, la Dimension.
L’Infini au Temps, la Dimension.
Le Fini à l’Espace, la Dimension.

Cette trinité de base prend effet tangible dans l’Espace-temps implicitement lumière.
C’est une concentricité d’état pas de dimensions (petit d). Tout est infini (adjectif) dans l’Espace tandis qu’il est ponctué d’espaces finis même qu’ils soient infinis pour nous dans leurs dimensionnalités respectives à l’intérieures desquelles nous aurons, pour finir, des dimensions à notre échelle.
Ceci pour le macro.
Inutile de vous dire qu’à partir de notre échelle, en micro, la décompression est la même jusqu’à l’infinitude (l’infini adjectif) où tout corps disparaît pour ne laisser qu’une « Mémoire ».
Ceci est la clef des correspondances par analogie de plan dont il faut trouver le pli, le fléau de la balance.
La terre ou l’homme ?

Le terrien.

Il réuni l'énergie, le temps et l'espace.

Bonjour à tous,
si je peux apporter un petite idée qui me vient
la trinité??
ne serait elle pas tout simplement, un model.
La terre, l'homme, et l'esprit
réalité philosophique d'unité dans la compexité du mystère qui entoure la recherche de notre existence, ne sachant si nous sommes le resultat d'un mécanisme évolutif de la pensée (la terre, l'homme, l'esprit). Nous ne savons toujours qui nous sommes, pourquoi nous sommes, et vers quoi nous allons.
Je suis, est la seule certitude.

Vous pouvez présenter l'idée de la trinité terre-humain-esprit mais qu'est ce que cela "apporte" au débat sur le confinement de l'infini ?
Voyez vous un infini dans cette union trinitaire, pourriez vous tenter de l'exprimer ?