Recommandations d'une mère à sa fille.

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en résumé ...
oublies que tu existes en tant que personne, oublie tes propres désirs et mets toi au service de ton mari ...

bradou, comme je suis curieux comme une taupe, ou un taupin..., j' ai été sur le site que tu as indiqué . Je tremble de tous mes membres...
Bon ,je ne savais que Mahomet volait en escadrille, mais à l' époque,
la gravitation existait-elle ? Et puis, avec les saints ou similaires, faut se méfier ! Ils ont plus d' un tour dans leur sac ! Si ça se trouve, Mahomet était le pote de St Joseph de Cupertino !
Mais alors, me voir tout nu dans un cône chauffé à blanc, mélangé à des hommes et des femmes également à poil, qui sautent et se tortillent sans aucune pudeur, quel fantasme ! Tous les clubs libertins
en rêveraient ! Même Atchoum ! Je vois d' ailleurs , sur son avatar, que sa respiration s' est accélérée...


" Le Prophète lors de son voyage avec les Anges Jibril et Mikail a vu comme une sorte de cône qui était à l’envers dans lequel il y a des gens hommes et femmes nus et au-dessous d’eux il y a du feu. Lorsque la flamme devient plus forte, elle les brûle jusqu’à les faire monter vers le sommet pendant que ces gens poussent des cris énormes.

Le Prophète demande à Jibril qui sont ces gens ? Jibril répond que ce sont les fornicateurs et les fornicatrices. C’est le châtiment qui les attend dans la tombe jusqu’au Jour du Jugement.

Dans un autre hadith, le Prophète nous parle de quelqu’un qui laisse de la viande fraîche pour aller manger de la viande qui est pourrie et il demanda à Jibril de lui expliquer ce qu’il voyait et Jibril lui répond : « celui-là avait une épouse dans le halal, il la laissait à la maison pour aller commettre l’adultère dehors dans le haram. »

bernard1933 a écrit:bradou, comme je suis curieux comme une taupe, ou un taupin..., j' ai été sur le site que tu as indiqué . Je tremble de tous mes membres...
Bon ,je ne savais que Mahomet volait en escadrille, mais à l' époque,
la gravitation existait-elle

Le plus dur Bernard est de savoir si ces Cheikhs croient eux-mêmes à ce qu'ils racontent ou font juste semblant. Dur, dur à savoir.

Comme il est difficile de comprendre que d'autres avalent leurs couleuvres. Or des mecs et des… (c'est quoi le féminin?) , bien sous tous rapports, intelligents et parfaitement équilibrés qui avalent ces couleuvres, il y en a par charretées.
Et ils sont plus fermés que des huîtres à tout autre propos qu'à celui des cheikhs.

Tiens, ce que je disais à une voilée y a pas longtemps.
Supposons lui ai-je dit que le port du voile soit l'une des conditions pour entrer au paradis. Réfléchis un peu lui ai-je dit. Un lieu où le gardien pose une telle condition d'accès comment l'imagines-tu et que penses-tu du gardien? Crois-tu possible qu'un tel lieu gardé par un tel cerbère soit un cinq étoiles?

Est-il difficile de comprendre que si par miracle ce lieu existait avec une condition d'accès aussi futile, ça ne peut pas être sérieux, les matelas y seraient à coup sûr grouillants de puces et de punaises, les draps crasseux et le séjour…cafardeux.

Quand on pose une condition aussi vaine et stupide ai-je expliqué, c'est sûr qu'il y a arnaque, et que pour le séjour idyllique promis il faudra repasser.

Mais rien! Ils veulent rien savoir! Tu as beau parler, tourner tes arguments dans tous les sens, c'est comme si tu pilais de l'eau……..

il ne suffit pas de porter le voile pour entrer au Paradis!!

non, mais peux-t-on y entrer sans voile ?

JO, quand tu vas partir, le plus tard possible bien sûr, tout le monde va dire que tu as mis les voiles, non ?
Bradou, tu restes une énigme, et j' aime bien ça !
Ce qui surprend , ce sont les âneries qu' une religion, quelqu' elle soit ,
d' ailleurs, peut faire avaler ! C 'est une simple constatation, pas un jugement ! Moi-même m'y suis fait prendre !

avec ou sans voile je ne sais pas si je vais y entrer!!
une prostituée y entre pour avoir secouru un chien alors!!
et une voilée pieuse y entre pour avoir enfermé un chat!!

donc je ne sais pas quel sera mon sort, je fais ce que j'ai à faire on verra plus tard si ça paieras ou non.

tu expliques le rapport avec le chien et le chat ?

Loubna, c'est simple: tu vis comme tu veux, tu t'en fiches des prescriptions, et tu sauves un chien.

Très facile.

Tout cela ne tient pas debout.

il n'y a pas de rapport entre chien et chat mais un rapport entre la "pieuse" et la prostituée!!

bien sûr que je vis comme je veux et j'assume mes choix ce que je fais de bien ou de mal c'est entre Dieu et moi et personne d'autre, Il est Le Seul en droit de me juger!!

loubnaen86 a écrit: Il est Le Seul en droit de me juger!!

C'est marqué dans le Coran.

Mais alors pourquoi l'Islam permet de juger, condamner et rejeter un apostat ? Pourquoi ne laisse-t-il pas à Dieu le soin de le faire ?

Récemment, un égyptien est décédé (de mort naturelle) aux Etats Unis. Il avait été condamné à mort par le tribunal Egyptien pour avoir osé dire qu'il fallait revoir son interprétation du Coran. C'était un homme pieux, croyant. Jugé et condamné pour apostasie, il a dû s'exiler.

Encore une contradiction...

loubna, Dieu ne te jugera pas ! S' il existe, il ne peut pas être ce
bonhomme exécrable qui te passera au tamis ! JO, pendu au bout de sa corde, est autrement plus en danger ! Quelles belles jambes à 84 ans !
Mes yeux se troublent...

lila ne fait pas croire en deux phrases ce genre de propagande!!
j'ai vu une émission, un débat entre zaghl oul najar et un autre arabe, je te dirait le nom si tu le souhaites!

l'homme déclarait des choses que vous estimerez de courageuses, pourtant le musulman qui se trouvait en face de lui ne lui parlait qu'avec politesse et ce fut diffusé par une télé arabe!!

en egypte un egyptien et sa femme ont déclaré ouvertement aux médias leur conversion au christianisme, c'est pas pour autant qu'ils ont été condamnés à mort!!

il faut arrêter un peu de prendre les gens pour des cons!!
il y a la barriére de la langue qui vous empêche de vous documenter directement à la source!

c'était un article dans Al Ahram, Loubna.
Al Ahram est publié en Arabe et en Français, je le lis chaque semaine depuis des années. C'est un journal objectif et courageux.
Al Jazeera diffuse aussi en anglais.
Tu sais que je connais pas mal de monde, aussi bien au Maroc qu'en Egypte et en Palestine et même de l'autre côté en Israël, qui me permettent d'avoir des information "en direct", sans la moindre propagande.

Si cela, ce n'est pas "la source" alors je ne sais pas ce qu'il te faut.

Par contre, tu as raison, il n'a pas été condamné "à mort" par le tribunal, j'ai dû confondre avec une autre histoire. Mais pour être obligé de quitter le pays, c'est quand même qu'il était intenable d'y rester.
Des "condamnés à mort", il y en a: Salman Rushdie, pour un simple roman, l'auteur des caricatures danoises (assassiné) pour des dessins, le cinéaste hollandais Pim Fortuin et sa scénariste qui avait fit un film pour-dénoncer la maltraitance des femmes justifiées par le Coran... C'est INTOLERABLE. Toutes les religions doivent pouvoir être critiquées, et les musulmans n'ont pas le droit de menacer des NON musulmans qui critiquent leur religion, point barre. "Condamné pour apostasie", quelle que soit la punition, est inacceptable.

Tu ne sais pas ce que souffrent les chrétiens en Egypte, et le combat de ceux qui veulent revenir à la religion qu'ils avaient abandonnées pour se marier avec un conjoint musulman. Il y avait aussi des articles à ce propos, sans compter les témoignages directs des gens que je connais là bas. Il y a régulièrement des attentats contre eux, mais ils sont étouffés. Bien sûr le gouvernement fait tout pour faire croire qu'il n'y a pas de problème avec eux, sinon ils ne reçoivent plus d'aide (notamment) des Etats Unis. C'est l'interview que tu as vue qui est de la propagande visant à faire croire que tout va bien.
Ouvre les yeux, Loubna !

C'est effrayant, ce qui se passe en Egypte, tant la déglingue du pays, que la montée du radicalisme religieux (ils vont de pair). Les Egyptiens eux-même m'ont raconté comme il y a quelques dizaines d'années, les religions co-existaient pacifiquement dans une belle entente, un modèle ! C'est devenu un pays chaotique, les femmes même en niqab, se font harceler en rue, dans les bus les hommes se frottent à elles jusqu'à jouir (ils n'y montent que pour cela), et quand elles réclament, on leur répond qu'elles n'ont qu'à rester chez elles (il y a eu plusieurs articles à ce sujet, c'est dramatique, certaines abandonnent leurs études à cause de cela !) Pour ce qui est des femmes battues par leur mari, et/ou maltraiter par leur belle mère, elles sont très nombreuses, un égyptien me disait que c'était une "tradition", et en rigolait: rien à voir avec les quelques pour cent de chez nous. Arrête de croire que tout est épouvantable ici et parfait chez les musulmans, ou tu vas vers une fameuse déconvenue !

Je te mets l'article en entier, alors pour ce qui est de "ne pas croire à ce genre de propagande", chère Loubna, je te répondrai que c'est plutôt à toi d'ouvrir les yeux. Tu plonges de plus en plus dans la naïveté, et tu ne t'en rends pas compte, peut être parce que tu es trop isolée ?

Tu sais que je suis plutôt de "votre" côté, en général, mais c'est une erreur de croire que c'est tout blanc d'un côté et tout noir de l'autre. Des deux côtés, il y a toutes les nuances de noir, de blanc et de gris, et la montée de l'intégrisme islamique est plus qu'inquétante, pour les musulmans encore plus que pour les autres


Religion . La mort du penseur Nasr Hamed Abou-Zeid, une des plus illustres victimes de la hesba, met en relief le maintien d’une juridiction peu propice à la liberté de penser et qui continue à harceler écrivains et intellectuels.

L’épée de la hesba toujours tranchante

L’homme avait déchaîné les passions en Egypte après sa fameuse « critique du discours religieux », qui lui vaut une condamnation pour « crime d’apostasie ». C’était, il y a 15 ans, Nasr Hamed Abou-Zeid qui a demandé à aborder le Coran comme un discours vertical en tentant de l’analyser en tant que « texte lié à un contexte et à une époque précise ». Il est condamné alors à se séparer de son épouse Ebtihal Younès, ne pouvant être mariée à un apostat. Les deux vont se faire exiler aux Pays-Bas pour échapper à la hesba. Ce droit, garanti par la loi, donne à tout croyant le droit de poursuivre en justice n’importe quel citoyen pour défendre les valeurs de l’islam. Un collectif d’avocats accusait alors Abou-Zeid d’hérésie. On ne badine pas avec la religion dans un pays où la grande majorité des habitants, musulmans ou coptes, sont fervents de leur religion dont ils pratiquent les règles même dans la plupart des gestes du quotidien et non pas par la seule pensée.

Même si la loi a été modifiée par le gouvernement 3 ans après la condamnation de l’intellectuel égyptien, des brèches dans la législation permettent une chasse aux intellectuels. Des écrivains, cinéastes, artistes et critiques vont défiler à tour de rôle dans les cours de la justice, poursuivis par, souvent, les mêmes avocats. Des noms comme Youssef Chahine pour son film Al-Mohaguer (l’émigré), qui finit par être retiré des salles de cinéma, Inès Al-Dégheidi, qui est condamnée à 50 coups de fouet, le poète Abdel-Moeti Hégazi dont on juge le poème de blasphématoire, le critique et fonctionnaire du ministère de la Culture Gaber Asfour, les exemples ne manquent pas. Et ces péripéties sont toujours présentes. Ils sont tous accusés d’apostasie et souvent condamnés, mais la peine est non exécutée, d’autres affaires sont abandonnées pour des raisons de « procédure ».

La très polémique Nawal Al-Saadawi lève encore la barre. Elle déclare que le pèlerinage à La Mecque faisait partie du « paganisme ». Elle s’oppose aussi à la loi sur l’héritage, inspirée de la charia et accordant à la femme la moitié de la part de l’homme. Des propos jugés anti-islamiques par le grand mufti d’Egypte, et qui lui valent un nouveau procès intenté par le fameux avocat, spécialiste dans ce genre de procès, Nabih Al-Wahch (lire entretien).

Saadeddine Ibrahim, réfugié aux Etats-Unis, subit le même sort avant d’être acquitté. Mais la censure qui lui est imposée est plutôt politique. Le système coercitif se nourrit des mêmes conceptions. Une censure religieuse qui inspire aussi bien les chrétiens, à l’instar de celui qui s’en est pris à l’écrivain Youssef Zidane, pour ses écrits sur les moines dans Azazil par exemple.

C’est la lutte entre un esprit moderniste et ouvert et un autre tyrannique et coercitif qui se sert de la religion. L’exemple historique le plus patent date de l’époque dite de la nahda ; une forme de censure, souvent exercée aux prétextes d’atteinte à l’islam, d’« humiliation » du prophète ou de Dieu ou d’infraction à la charia. Ainsi, en 1925, le cheikh d’Al-Azhar Ali Abdel-Razeq est radié de l’université et interdit de publication par ses propres collègues, parce qu’il a proposé de séparer la religion de l’Etat. Son livre incriminé, Islam et principes de gouvernement, est interdit pour hérésie. Celui-ci, en fait, dénonçait le maintien du système du califat, notamment après la chute de l’Empire ottoman qui a rendu ce système obsolète. L’année d’après, c’est l’affaire la plus retentissante avec l’interdiction du livre de Taha Hussein, La poésie pré-islamique. L’écrivain est expulsé en 1931 de l’université par le ministre de l’Education. C’est en fait l’affaire la plus retentissante, et celle de Nasr Hamed Abou-Zeid lui est souvent comparée. C’est l’exemple qu’on cite quand il est sujet de hesba aujourd’hui.

L’affaire des Mille et une nuits

Mais l’affaire la plus récente est tout aussi significative. Elle remonte à il y a deux mois. Là aussi, « un groupe d’avocats » dépose une plainte auprès du Parquet appelant à interdire le fameux recueil des Mille et une nuits, s’appuyant sur l’article 178 du code pénal qui punit d’amendes et de deux ans de prison la publication de textes indécents.

Le tout se mélange, la hesba, aux textes qualifiés d’indécents, le mépris de la religion. Sur le fond, rappellent les spécialistes, la hesba n’existait ni aux temps du prophète Mohamad ni à ceux de ses compagnons, et lorsqu’elle surgit après l’époque des Omeyyades, c’était surtout une « hesba des marchés », soit une sorte de protection des consommateurs contre la hausse des prix et le monopole des marchandises. Bizarrement, ce n’est qu’après la chute du califat islamique que la hesba religieuse éclôt et devient synonyme d’accusation d’apostasie.

Les militants des droits de l’homme tirent la sonnette d’alarme. Le Réseau arabe pour l’information sur les droits de l’homme exprime « sa profonde inquiétude concernant le phénomène accéléré des affaires de la hesba, qui vise la liberté d’expression, soit sur le plan religieux ou intellectuel, de l’échelle politique ou artistique » (lire page 5).

Le Réseau réitère sa demande de réviser la structure juridique qui permet aux tribunaux d’accepter ce genre de cas.

Mais si les organisations des droits de l’homme se disent préoccupées, l’Etat égyptien, qui dit vouloir combattre le radicalisme religieux, ne lève pas le doigt. Les ONG estiment que la « faible réaction » du gouvernement face à la hesba encourage plus de citoyens et les avocats de déposer des centaines de cas de hesba contre des écrivains, des journalistes et des militants « en mal de publicité ou de l’attention gouvernementale, ou tout simplement d’être des fanatiques religieux ».

Ce sont les réalités complexes de la société égyptienne qui éprouve du mal à gérer son rapport avec la religion. Une dynamique d’islamisation et de conservatisme chrétien qui semble investir de haut en bas la société égyptienne.

Vrai, d’autant plus que dans certains cas, ce sont des membres de la classe dirigeante qui se montrent parfois plus islamistes que les islamistes, et vont, eux, poursuivre les intellectuels par l’épée de la hesba.

Le vrai problème pourtant c’est qu’il n’existe pas de véritable débat sur ces points de « droit et liberté intellectuelle » et sur les « valeurs de la société et principes de la religion ».

Samar Al-Gamal source

Loubna, il y avait tout un dossier sur le sujet, tu peux le lire ici : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

La condamnation pour apostasie n'est peut-être pas directement une condamnation à mort, mais indirectement oui, puisqu'il en résulte des tentatives d'assassinat: les exemples sont nombreux, comme Ayaaan Harsi Hari, qui vit maintenant entourée de gardes du corps et a dû quitter tout un temps son pays d'accueil (les Pays Bas) après avoir signé le scénario du film de Pim Fortuin.

Exemple, tiré de ce dossier:
Evidemment, il y a l’exemple très connu du Prix Nobel de littérature, Naguib Mahfouz, qui a été accusé d’athéisme et d’infidélité à Dieu à cause de son roman Awlad haretna (les fils de la madina), où, d’après des avocats et quelques cheikhs, le personnage principal du roman, Al-Gabalawi, personnifierait Dieu. Et à cause de cette accusation, Mahfouz a été attaqué par un extrémiste qualifié de « fou » qui a tenté de l’assassiner en octobre 1995, en lui assenant des coups de couteau.

merci, Bernard : j'ai voulu satisfaire les yeux, autant que ... l'esprit ?
J'ai quand même décroché le titre des plus beaux pieds de Fès ( Maroc) à la piscine de cette ville, aux alentours de 1948... On a les trophées qu'on peut et je ne me sens pas bannie de la grâce divine pour autant ...

ce qui suit devrait précéder le comment antérieur :

bernard1933 a écrit:loubna, Dieu ne te jugera pas ! S' il existe, il ne peut pas être ce
bonhomme exécrable qui te passera au tamis ! JO, pendu au bout de sa corde, est autrement plus en danger ! Quelles belles jambes à 84 ans !
Mes yeux se troublent...

ah lila lila lila!
un nom a attiré mon attention ines adghidi, je connsaissais ce nom, bref aprés une courte recherche en langue arabe voici ce qu'il en est!

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si tu connais quelqu'un qui sait traduire tu le lui demandes mais elle n'a jamais été condamné à ces coups de fouets pour la simple et bonne raison qui est que l'Egypte n'applique pas la charia!!
tu vois ton journal n'est pas si fiable que ça, c'est ahurissant!! dés qu'un organisme arabe critique l'islam et les musulmans il devient crédible a 100% et trés courageux!!

on voit que tu n'y es jamais allée

Ce n'est pas "mon" journal, c'est le principal journal égyptien, quotidien et hebdomadaire. Il est connu pour protéger les autorités, et pourtant n'hésite pas à publier des critiques à leur sujet.
Donc quand il dénonce quelque chose, il est bien en-dessous de la réalité.

Il faut savoir des choses comme cela pour pouvoir lire entre les lignes.


Histoire [modifier]

Publié au Caire, son contenu est contrôlé par le Ministère Égyptien de l'Information ; ce journal est connu pour son manque d'objectivité et ses omissions sur tous les sujets sensibles ou qui pourraient mettre en péril les versions officielles, même si sa section d'opinion est estimée. Il a deux versions en langues étrangères, Al-Ahram Weekly en anglais et Al-Ahram Hebdo en français.

Au début, Al-Ahram était publié comme un périodique hebdomadaire qui sortait tous les samedi. Il a été fondé par les deux frères libanais Bshara et Saleem Teqla qui vivaient alors à Alexandrie. L'hebdomadaire était distribué en Égypte et en Syrie. Après deux mois de publication les frères Teqla décidèrent d'en faire un quotidien. En novembre 1899 le siège d'Al-Ahram a été transféré au Caire. (wiki)

lila si tu ne lis pas je peux rien pour toi, je connais trés bien ce journal, je ne le lis pas certes, mais tu m'as prouvé qu'il ne dit pas la vérité!

il n'y a pas de condamnation pour apostasie en Egypte puisqu'ils n'appliquent pas la charia!!

dan, fais comme moi, parcours le site sajidine...que tu cites, rubrique miracles . Et tu verras qu' entre Jésus et Mahomet, ton choix sera immédiat ! Jésus a rempli les outres de vin à Cana, Mahomet n' a pu que multiplier les gobelets de lait ! Ca ne donne pas envie de se faire couper...

dan, fais comme moi, parcours le site sajidine...que tu cites, rubrique miracles . Et tu verras qu' entre Jésus et Mahomet, ton choix sera immédiat ! Jésus a rempli les outres de vin à Cana, Mahomet n' a pu que multiplier les gobelets de lait ! Dans ces conditions, comment se remonter le moral ?